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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 22:52

Quand on a eu que des félicitations, même pendant l'école de police, et qu 'après on vient se faire interpeller mise en

gav et perquisition au domicile, sur simple dénonciation calomnieuse on appelle ça comment .Policier en activité interpellé comme un grand délinquant avec tout ce que ça comporte, perquise, gav, menottes ( les miennes toutes neuves jamais rendues ) etc par erreur à mon domicile par l'IGS sans commission rogatoire suite à une dénonciation calomnieuse non vérifiée....

Je précise que sur demande de l'IGS l'auteur de la dénonciation calomnieuse m'a téléphoné pour me donner un rendez-vous pendant que l'IGS surveillait pour me prendre sur le fait, je n'y suis pas allé, ils sont venus... à 8 plusieurs voitures , mis à poil dans le bureau du patron puis en cage, et auditionné toute la journée du lendemain et je n'avais rien mangé depuis la veille à midi, rien m'a été proposé, et aucun moment de repos.

Un non lieu aussitôt ne m'a pas empêché de faire une dépression , au lieu de me soigner on m'a mis à la retraite sans me prévenir alors que pour moi la police était toute ma vie j'ai pas intégré la maison parceque je ne savais rien faire d'autres c'etait mon choix.

Cette affaire date de longtemps, elle m'a empêché de vivre pour preuves je n'ai jamais crée de famille ni eu un boulot stable juste de quoi manger j'ai fait du commercial, je déteste ça; à ce jour si je fais ce groupe c'est que je sens la fin approcher je ne peux plus tenir et laisser une trace

Il me reste comme seule famille ma mère âgée de 81 ans qui ne peut plus marcher, je suis seul avec et mes chats qui disparaissent suite à leur vieillesse , je viens d'en perdre un le 4 Août 2012 , je dois tout faire dans la maison , de plus je vis en Andorre où j'avais connu une femme qui est décédée 5 ans après.

J'ai écrit à tous les présidents , à chaque fois pour demander ma réintégration, et la dernière fois en janvier 2011 , j'ai reçu une réponse de ministère qui me satisfaisait pas , je leur ai donc téléphoné, mon interlocuteur m'a dit, j'ai répondu sans voir le dossier , je ne l'ai pas, faut vous adresser à la préfecture, chose que j'ai faite, de là les personnes très sympathiques ont fait le nécessaire , et le dossier il y en avait 3 à différents lieux, et j'ai appris soit il y a un an , que je n'ai jamais été mis à la retraite anticipée, mais réformé avec pension sauf que je n'avais jamais rien perçu, ce qui veut dire qu'il n'y a pas de rétroactivité au delà de 5 ans, j'ai donc en plus d'avoir été victime d'une bavure de l IGS , on m'a toujours menti, mon dossier a été truqué, je n'ai jamais passé un conseil de réformes ni vu un expert , pourtant il est indiqué tout ça dans le dossier sauf qu'il n'y a aucun procès verbal ni le nom de l'expert.

Si aujourd'hui 6 Août 2012 je lance à fond ce groupe c'est que j'ai besoin de vous tous pour m'aider à m'en sortir , à trouver un avocat, que je puisse finir mes jours avec ce que l'on me doit.

Je n'étais pas mieux qu un autre mais je n'ai pas mérité cette vie la retraite aurait du arriver et me voilà au contraire au lieu d'avoir cela j'ai rien, à finir clochard, dans un pays qui n'est pas le mien et où je ne peux sortir car le seul lieu que j'avais trouvé grâce à 2 amis ici est trop loin et ma mère ne supporterai pas le voyage.

J'aime aider et c'est mon devoir pour ma part , mais cette fois c'est moi qui vous fait appel, merci de me lire.

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 22:50

OBJET DE CE GROUPE

Tous les fonctionnaires de police qui ont eu des démêlés à tort avec l' IGS, j'entends bien à tort , car c'est leur mission première , interpeller sur dénonciation , même forcer le plaignant à donner des informations complémentaires pour faire tomber du flic , sans vérifier les sources de la plainte, car souvent ce sont des vengeances,  leur mission première.

Les collègues  qui s'en sont remis ou pas ,selon leur entourage , amis, collègues, ont pu s'en sortir et oublier tout ça, pour ceux là ils ont été plus forts et ont repris leur activité .

Pour les autres plus vulnérables , lourdement atteint , traités comme des voyous,  j'ai crée ce groupe pour que vous vous manifestiez car plus nous seront , plus nous pourrons nous faire entendre, je suis l'une de ces personnes dont j'explique un condensé ci dessous.

EN CE QUI ME CONCERNE  POUR MIEUX CONNAITRE CETTE BAVURE

Quand on a eu que des félicitations, même pendant l'école de police, et qu 'après on vient se faire interpeller mise en gav et perquisition au domicile, sur simple dénonciation calomnieuse on appelle ça comment . pour moi '' une bavure'' même s'il n'y a pas eu de blessé ni mort ,si mon chien a failli être tué.

QUI SUIS JE ?

Policier en activité interpellé comme un grand délinquant avec tout ce que ça comporte, perquise, gav, menottes ( les miennes toutes neuves jamais rendues ) etc  par erreur à mon domicile  par l'IGS sans commission rogatoire suite à une dénonciation calomnieuse non vérifiée....

LES FAITS

Je précise que sur demande de l'IGS l'auteur de la dénonciation calomnieuse m'a téléphoné sur demande de l IGS  pour me donner un rendez-vous '' guet apens '' pendant que l'IGS surveillait pour me prendre sur le fait, je n'y suis pas allé, ils sont venus... à 8 plusieurs voitures , mis à poil dans le bureau du patron puis en cage, et auditionné toute la journée du lendemain et je n'avais rien mangé depuis la veille à midi, rien m'a été proposé, et aucun moment de repos.

Après presque 24 h de GAV, la mère de la plaignante , téléphone à l IGS pour leur signaler que tout était faux , que sa fille avait menti, je n'en sais pas plus.
Aussitôt je suis libéré , sans excuse prêt à reprendre mon travail, sauf qu'au moment où je me suis dirigé pour y aller je n'ai pu, incapable, peur des critiques, j'ai donc consulté le Médecin Chef qui m'a de suite , semblant très bien comprendre la situation m'a donné un mois de repos.

LES SUITES

Convoqué à mon service quelques jours après , on me notifie , selon les termes du responsable officier que je devais signer un non lieu en me signifiant de tout oublier de reprendre mon travail à mon poste, que c'est une erreur, sauf étant en position de maladie , je l'ai signalé car tout ça ne m'a pas empêché de faire une dépression , au lieu de me soigner après 6 mois d'arrêt , je ne pouvais toujours pas reprendre , sans rien me dire  on m'a dit bon c'est bon attendez on vous informera, sauf que pendant des années , après différents courriers à tous les présidents on m'informe  que  '' j'ai fait valoir mes droits '' j'ai pourtant toujours demandé à réintégrer, ce qui a toujours été négatif.

LES CONSEQUENCES

Cette affaire date de longtemps,  elle m'a empêché de vivre pour preuves je n'ai jamais crée de famille ni eu un boulot stable juste de quoi manger j'ai fait du commercial, je déteste ça; Les années passent , en 2007  je fais ce groupe c'est que je sens la fin approcher je ne peux plus tenir et laisser une trace car la vie m'a obligé à me retrouver dans un autre pays où j'ai connu une femme , pensant refaire ma vie sauf qu'elle est décédée 5 ans après notre rencontre.

A ce jour il  me reste comme seule famille ma mère âgée de 81 ans qui ne peut plus marcher, je suis seul avec et mes chats qui disparaissent suite à leur vieillesse , je viens d'en perdre un le 4 Août 2012 , je dois tout faire dans la maison.

NOUVELLES INFOS COMPLEMENTAIRES EN JANVIER 2011

J'ai écrit à tous les présidents , à chaque fois pour demander ma réintégration, et la dernière fois en janvier 2011 , j'ai reçu une réponse de ministère qui me satisfaisait pas , je leur ai donc téléphoné, mon interlocuteur m'a dit, j'ai répondu sans voir le dossier , je ne l'ai pas, faut vous adresser à la préfecture, chose que j'ai faite, de là les personnes très sympathiques ont fait le nécessaire , et le dossier il y en avait 3 à différents lieux, et j'ai appris soit il y a un an , que je n'ai jamais été mis à la retraite anticipée, mais réformé avec pension sauf que je n'avais jamais rien perçu, ce qui veut dire qu'il n'y a pas de rétroactivité au delà de 5 ans, j'ai donc en plus d'avoir été victime d'une bavure de l IGS , on m'a toujours menti, mon dossier a été truqué, je n'ai jamais passé un conseil de réformes ni vu un expert , pourtant il est indiqué tout ça dans le dossier sauf qu'il n'y a aucun procès verbal ni le nom de l'expert.

Si aujourd'hui 6 Août 2012 je lance à fond ce groupe c'est que j'ai besoin de vous tous pour m'aider à m'en sortir , à trouver un avocat, que je puisse finir mes jours avec ce que l'on me doit.

Je n'étais pas mieux qu un autre mais je n'ai pas mérité cette vie la retraite aurait du arriver et me voilà au contraire au lieu d'avoir cela j'ai rien,  à finir clochard, dans un pays qui n'est pas le mien et où je ne peux sortir car le seul lieu que j'avais trouvé grâce à 2 amis ici c'est trop loin et ma mère ne supporterai pas le voyage et je n'ai pas eu un accord pour un transport en ambulance position couchée.

J'ai aussi crée un autre groupe pour aider un autre collègue qui lui aussi a des des problèmes , celui ce ne concerne que les personnes qui ont vécu la même chose que moi, sans avoir été dédommagé sous n'importe quelle forme.

J'aime aider et c'est mon devoir pour ma part , mais cette fois c'est moi qui vous fait appel, merci de me lire Amitiés

Groupe Facebook   pour vous inscrire  :  Clickez sur la page n'importe où pour y accéder

https://www.facebook.com/groups/302216556650/

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 23:39

 

Publié le : 4 avril 2012 à 0 h 41 min
Certaines personnes me disent de tourner la page, j'aurai et j'ai tout fait pour et en vain , les quelques années qui ont suivi, j'ai bossé un peu partout de simple employé à cadre et même tenté de me mettre à mon compte Pour moi c'est pas une époque c'est ma vie qui s'est arrêtée quand j'ai vu que n'étais plus en maladie, mais ''viré'' enfin le terme exact à fait valoir ses droits à la retraite chose que je n'ai jamais faite , à mon âge, ne trouvant plus de travail et étant encore ''jeune'' à l'époque je me suis retrouvé dans un pays pour rejoindre une femme qui y habitait et 5 ans après elle décède brutalement d'une rupture d'anévrisme aortique, ce qui veut dire je me lève et moins d une heure après je vais la réveiller pour aller bosser je la retrouve en travers du lit toute froide j'avais fait un commerce avec elle que j'ai aussi perdu et j'en passe, alors c'est facile de dire oublier cette mauvaise époque , à cette dite époque je m'apprêtais à me marier, prendre un appartement voire avoir des enfants et préparait mes concours d ip pour l époque ou lieutenant Depuis le décès de mon amie, j'ai tout perdu parce qu on en a profité pour me doubler avec mon commerce, je m'explique les vendeurs ont monté la même affaire avec mes fournisseurs à côté de moi et une autre à un km et la suite c'est pas de la fiction je trouve un boulot de veilleur de nuit dans un hôtel et un jour de fête le 31 décembre un mec bourré veut tout casser, on appelle les flics, qui l’emmènent à l'hôpital il en sort et le gars revient avec un couteau et me menace afin que le lui dise qui a appelé les flics heureusement je peux le contenir suis pas blessé et j'ai pu entre deux appeler les flics, pour ceux qui doutent encore j'ai le pv de plainte que j'ai déposé à son encontre et voilà et depuis tout ça suis en dépression, je résume si l igs n'avait pas fait cette bavure je n'aurai jamais connu tout ça et au moins j'aurai fait un métier que j'aimais et de l'argent pour vivre , de plus je ne peux ps quitter l Andorre car j'ai pas les moyens surtout pour déménager et retrouver un logement car ici je ne connais personne de plus il me restait une jolie voiture que j'ai vendu à un ''vieux '' mr qui travaillait au tribunal et en toute confiance s'est occupé de tout des papiers etc sauf de me payer , je passe sur d'autres points encore un et je n'y peux rien c'est comme ça ici, j'avais des chats et quand le propriétaire l'a su il a voulu m'expulser, j'ai mis 3 ans de procédure pour enfin gagner ...
Alors quand on me dit de tourner la page, j'ai tout fait pour et si on n'y arrive pas , si quelqu'un a la solution , merci de me la donner
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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 19:50
  Je vais commencer par le début pas comme un roman, mais comme un rapport que je devrais relater au patron, je vais tenter de ne rien oublier, c'est loin mais pour moi c'est encore hier........

Les faits! Au cours d'une soirée entre amis je rencontre une fille que je raccompagne chez sa mère nous avions environ une vingtaine d'années, j'étais policier depuis quelques temps ayant passé le concours à 19a après mon service militaire aux pompiers de paris.

Je revois cette fille quelques fois sans plus puis un jour elle m'invite à venir chez elle voir sa mère , j'accepte, je fais de même je l'invite chez moi enfin chez ma mère aussi puis au bout de quelques semaines elle me dit vouloir quitter sa mère , je ne savais rien sur elle tout comme elle sur moi, je n 'avais jamais fait usage de mes prérogatives professionnelles à des fins personnelles, elle semblait correct, la mère se disait travailler dans un milieu médical et la fille au chômage rien d'anormal à ça.

J'accepte de l'héberger chez moi, sachant que dans tous les cas il lui fallait avant tout un travail, pour ma part je faisais les nuits .

Au pire elle travaillait le jour et moi la nuit c'était plus de la colocation , je demandais pas un sous , je lui trouve un travail par hasard dans un supermarché comme vendeuse donc tout va bien j'offrais la nourriture et le logement car en plus elle m'annonce avoir un fils de quelques années et qui lui manquait , ayant de la place dans mon appartement et toujours quelqu'un de présent j'accepte encore, ma mère aussi et tout se passe bien quelques jours mais le fils créée des problèmes.

D'un commun accord nous décidons de mettre fin à cette cohabitation ainsi qu'à notre relation amicale car elle décide d'arrêter de travailler chose que je n'ai pas accepté de principe, je voulais bien aider mais pas que l'on en profite, de plus il n'y avait aucun sentiment.

Nous revoilà ma mère et moi comme avant, elle avec sont travail moi le mien, tout va bien et quelques mois après alors que j'étais chez moi le téléphone sonne, c'est la dite fille en question avec une façon de parler un peu étrange à ce que je connaissais, je mets cela sur le fait qu'elle voulait me demander un service et n'osait pas, mais non la raison est toute autre je l'ai su après ainsi qu'au fil de la conversation sentant une vengeance car peut être elle ne trouvait pas de logement et m'en voulais  je l'écoute quand même, elle me propose tout autre chose, "viens près de ta banque , je sais que tu voulais changer de voiture , je peux t'aider, pour plusieurs raisons je refuse cette visite et lui ajoute j'ai pas besoin de voiture j'en ai acheté une autre, elle insiste à me faire venir avec un autre ton, je sens même qu'il y a du monde autour d 'elle, mais je suis catégorique et je lui dit pour avoir la paix je suis en arrêt maladie pour grippe et je ne peux sortir ce qui met fin à la discussion et quelques heures passent, je continue mes affaires à la maison, je prépare le repas du soir.

Puis la sonnerie d'entrée se met à sonner sans arrêt, je ne panique je me dit ma mère a oublié ses clefs ou elle est trop chargée pour avoir fait des courses et souhaite de l'aide, je me précipite donc à la porte et je n'ai même pas le temps d'ouvrir la porte en bois que je suis plaqué contre le mur, ils planquaient aussi ma mère à la sortie du travail et ils l'ont suivi et plusieurs de l igs sont montés par l'escalier et d'autres dans l’ascenseur par plusieurs hommes dont un tout petit qui exhibe sa carte de réquisition en hurlant igs, et ajoute vous savez pourquoi on est là, je réponds que non puis revient dans ma tête cet appel téléphonique de la fille qui voulait me faire venir, mais loin de penser ce qu'elle avait pu leur dire .

Comme j'ai dit c'est pas un roman que j'écris mais des faits réels vécus pas de suspense, on m'annonce de suite vous êtes en gav pour proxénétisme puis la perquisition débute sans commission rogatoire , ma mère se trouve mal de voir tout ça le petit commissaire lui dit c'est pas grave on l'enverra à l'hôpital Cusco j'étais là, mon chien était aussi présent mais gentil comme un agneau sauf à un moment quand ils me bousculent un peu trop fort en m'emmenant dans les pièces pour la perquisition , ils me disent faites le taire ou je lui mets une balle dans la tête à mon chien.

Ils restent un bon moment à fouiller en vain et pour cause, ils trouvent dans un tiroir mes menottes persos que j'avais acheté et me les mettent, du reste ils me les ont jamais rendu .... Ils poussent même la plaisanterie à me mettre les menottes devant et vont perquisitionner ma voiture et la cave et au même moment un officier et voisin leur demande la raison pour laquelle ils me font ça , comme chacun sait même un divisionnaire n'a pas trop de pouvoirs devant les boeufs , il leur dit juste de me mettre les pinces dans le dos et un imper par dessus, ils acceptent suite à sa demande, puis ils téléphonent de chez moi et j'étais présent en disant qu'ils avaient rien trouvé je suppose qu on leur a quand même dit de me conduire bd du palais au siège à l'époque.

On part avec deux voitures en gros il y avait huit flics bien serré dans la simca 1100 rose ou violette de l'epoque sans gyro ni deux tons on a mis au moins une heure je peux dire ça fait très mal avec les pinces de plus les miennes ....

On arrive dans la cour du service, je suis conduit comme un gros truand dans le bureau du patron de l igs qui me fait me mettre à poil puis en cage avec toute la nuit deux collègues en permanence qui pour eux le motif de la gav était proxénète, je peux dire de savoir ça c'est horrible les plantons ont été gentils mais quand même moralement ça atteint, moi qui n'avait jamais volé un bonbon comme beaucoup.

Le lendemain après avoir passé la nuit sur un banc et sans nourriture et n'ayant pas mangé depuis la veille midi un inspecteur m'entend dans un bureau pendant des heures , devant mes réponses sans hésitation je n'ai pas été trop malmené par celui ci, un jeune qui avait pas du choisir l igs je pense .......

J'apprends aussi qu'ils ont convoqué ma mère qui n'était pas en état physiquement mais qui est venue bien sur pour moi son fils .

En fait en fin de journée un autre inspecteur vient signaler que la mère de la fille est au téléphone et souhaite parler , j'entends les réponses vue la configuration des lieux et je comprends que la fille s'est rétractée et avoue avoir menti que c'était les policiers qui l'avait poussé car elle avait été prise à faire le tapin et en fouillant on a trouvé mon nom sur son carnet d'adresse, en ajoutant c'est un flic de là je sais la suite mais pas qui a débuté l'affaire, pour les boeufs c'était du pain béni "faire tomber un flic comme proxo"

Suite à cet appel on fait venir ma mère qui était dans un autre bureau et sans s'excuser pour tout l igs me dit , la fille vient de retirer sa plainte pour nous vous êtes libre sans excuse .

Pour tout ceux qui ont eu la gentillesse , je sais c'est long mais on se rend pas compte quand on écrit, ma mémoire 30ans après est encore bien claire, et si cela n'est pas une bavure faudra m'en donner la définition car ils m'ont pas tué avec un calibre mais ça fait 30 ans que je suis mort ......

Quelques jours après , je suis convoqué à mon service et je signe un document qui est soit disant un  non lieu , que je pouvais reprendre mon service aussitôt,  sauf que j'étais allé voir le médecin chef qui m'a mis en arrêt de mois en mois et à chaque fois que je voyais un flic ou une voiture banalisée ou plusieurs personnes derrière moi j'avais peur.

Pour la suite si ça intéresse je pourrai vous dire qu on m'a laissé seul dans mon coin sans visite des collègues ni du syndicat et puis un jour sans passer devant un conseil j'ai été mis à la retraite , moi je voulais juste du temps qu on me soigne , j'ai même demandé au médecin de reprendre à ménager il a refusé.

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 18:06

 

Je ne vous cacherai pas que mon divisionnaire que l'on nomme commandant à ce jour, était au dessus du Principal que l'on nomme Capitaine. Ce jour là le commandant étant chef de circonscription en l'absence momentanée du Patron, tout pouvoir lui étaient alloués légalement, pour me faire plaisir, ainsi que pour d'autres raisons qui lui appartiennent, il me dit , : 3 Venez avec moi j'ai personne sous la main de disponible, ce que bien-sur personne pouvait m'interdit même le fameux principal, qui me le fera payer après, jeune lui aussi car je commençais à vieillir et ses prérogatives judiciaires n'étaient pas plus élevées que les miennes à cette époque . Je prends place dans la voiture PJ une vieille renault 4L avec à son bord le divisionnaire avec l'indicatif TJ j comme judiciaire Officier de Police Judiciaire, puis nous partons en ronde sur le département, il avait envie de se dégourdir les jambes et n'aimant pas conduire, je me retrouve comme chauffeur, tout allait très bien, il me dit d'aller où je veux afin d'éventuellement trouver un malfrat au service ou mieux. Le secteur prédilection , comme je l'ai déjà indiqué sont souvent les postes, car parfois cachés pour être agréable au public de grands ensembles, on se dirige par là et apercevons à notre vue une voiture qui s'enfuie très rapidement, difficile de la rattraper vue notre petite voiture, tout juste bonne de poursuivre une mobylette dans une descente ou au mieux prendre un virage et de se retrouver sur le toit, nous n'avions ni gyrophare, ni 2 tons, une simple plaque lumineuse Police visible à 2mètres, la seule solution, j'avais pris peut -être par chance ou par hasard le numéro d'immatriculation de la voiture, correspondant au département ainsi que le modèle et apparemment un homme à bord, aussitôt la logique était là le véhicule poursuivi n'était plus à notre vue même lointaine, mais pendant tout ce temps TJ en transmission direct avec la sic salle de commandement avait donné toutes les informations et quelques minutes après une voiture annonçait , véhicule intercepté, TJ demande le transfert de l'auteur à la PJ départementale où nous rendons afin de voir et pourquoi cet individu , manifestement en règles, sans arme avait pris la fuite en nous voyant.

Arrivés au siège de la Brigade territoriale aujourd'hui appelé SDPJ, l'audition était commencée puisque nous sommes dans un service rompu quotidiennement au plus grand banditisme dépendant directement de la DCPJ direction centrale de la police judiciaire, sise 36 Quai des Orfèvres à Paris, ainsi qu'à Nanterre depuis quelques années du fait du grand nombre d'effectifs .

Manifestement nous faisons choux blanc, le conducteur, un brave homme d'une quarantaine d'années nous informe seulement qu'à sa décharge , il a cru que nous voulions l'agresser et c'est pourquoi qu'il a pris la fuite, ce qui est confirmé par les fonctionnaires de police qui l'ont interpellé site au message général, vérifications d'usages, domicile, travail et fichier , l'homme inconnu de nos services n'a jamais été mis en garde à vue numéro2, seulement en vérifications et nous lui avons présenté nos excuses contrairement à l'IGS qui elle beaucoup plus agressive ne s'excuse jamais et aurait mis la personne en GAV sans motif comme à leur habitude. Nous saluons nos collègues de la BT et reprenons notre ronde sur le secteur mais nous excepté quelques petites vérifications nous ne trouverons rien de mieux, mais j'en fus ravi de ce moment passé, à l'inverse avec un homme de 50ans un vrai policier , comme on dit il en voulait encore et pas le dernier à interpeller un individu suspect, à l'inverse des collègues de ma brigade quine pensaient qu'à leur appéro ou de tourner à droite pour éviter d'entamer une procédure. Pour ma part le service terminé, mais comme nous demeurons dans le même immeuble, on rentre à la maison pour lui prendre son déjeuner et pour moi ma journée était terminée, mais il me dit étant de garde sur le département qu'il voulait bien me prendre encore avec lui, je rentre chez moi, en attendant avec impatience le soir et la nuit où là de toute évidence notre mission sera différente mais toujours en police judiciaire et seul sur le département, puis un changement de voiture un peu plus puissante.

Seul à mon domicile j'en profitais pour me reposer un peu pour affronter la longue nuit, mais que du bonheur à venir, enfin je le souhaitais. 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 17:57

 

Comme adjoint du patron, et comme grand flic venant de la grande PJ, tombé, je ne sais pourquoi dans ce mouroir à policiers responsable de la SU du commissariat, je vous ai admiré comme homme aussi puisque nous vivions dans le même immeuble.

Comme adjoint du Commissaire, chaque matin vous veniez saluer les brigades, chose que le Patron n'a jamais fait, les seuls fonctionnaires de la SP qui ont pu comme moi échanger quelques mots avec lui ce sont les chauffeurs et encore je ne peux parler que pour moi, il montait bien à la droite du conducteur, il n'était pas encore Ministre, mais pour lui faire desserrer les dents, c'était tout autre chose, c'est vrai de face il embêtait personne. Il était aussi bien vu par son personnel que par la Direction, lui aussi attendait impatiemment sa mutation, à l'exception d'accompagner l'huissier puisque rappelons le, un commissaire touche aussi son enveloppe, il ne sortait jamais, juste parfois un oeil furtif de sa fenêtre faisant mine de l'ouvrir. Quant aux décisions internes pour la PJ tout reposait sur son adjoint et pour la sécurité publique tout sur le jeune officier, qui lui n'en pouvait plus et prenait son rôle très au sérieux du haut de son 1.90m et de ses 100 kg de plus d'origine allemande, ayant vécu quelques temps dans le sud de la france, cela lui donnait un air sympathique, mais faux. Ayant tous les pouvoirs sauf si un de nos chefs syndicalistes intervenait les choses se passaient beaucoup mieux. Il ne se privait pas de frapper à la porte du patron, qui lui comme à son habitude, répondait de faire pour le mieux, du style, je vous paie pour diriger .
Le commissaire, venait de l'éducation nationale ne connaissait pas du tout le travail de police, en sécurité publique, ce qui regroupe toutes les fonctions d'urgence,  en ce qui concerne la police judiciaire, je ne m'avancerai pas n'ayant jamais travaillé avec lui.

Pour être bien avec lui, il ne fallait surtout pas aimer la PJ puisque lui n'en n'avait pas les prérogatives, jouer au tennis avec lui sous entendu être son voisin, et ne pas être juif.

Il était facile de mes oreilles d'entendre certains propos jugés actuellement d'antisémites, et de faire passer son protéger au lieu de moi en PJ, lorsqu'un de nos pauvres collègues est décédé jeune victime d'une crise cardiaque, ce jeune collègue ne manifestait jamais son envie d'aller en PJ contrairement à moi qui de plus étudiait le concours d'officier de police judiciaire, mais il était facile, mon ami le divisionnaire ne pouvait me prendre sauf si le patron l'avait accepté, mais c'est si facile de démonter une personne, de plus ce collègue sortait de la même promotion que moi .

Pour une mutation interne , changement de service, il faut en premier lieu faire sa demande, qui est approuvé ou non par le patron, qui s'informe au près du supérieur hiérarchique de l'intéressé, heureusement tout ça a changé, à ce jour dans le même cadre le divisionnaire comme commandant aurait été mon supérieur hiérarchique, seul le commissaire pouvait refuser, et en cas de mutations externes c'est le service demandeur qui donne son approbation, au vu du dossier d'un entretien et de tests ou de qualifications spécifiques. Avant si vous étiez mal vu, pour une raison ou une autre vous pouviez finir sans aucune promotion.

En résumé à l'inverse d'aujourd'hui, dès la sortie de l'école, si vous êtes bien classé vous avez déjà le choix du service, tout est fait pour vous être agréable, de mon temps c'était la tête du client, déjà ne pas boire presque tous les jours correspondait à une façon de pas vouloir se mélanger aux autres collègues. Etudier était aussi la façon de démontrer que nous n'aimions pas notre travail actuel, loin de penser que cela s'appelle tout simplement évoluer, mais comme 70% étaient là comme ancien boucher, électricien, mineurs, etc pour eux ce travail était le rêve, puis moins on en fait moins on veut en faire, les jeunes comme moi qui n'avions rien connu du travail voulions continuer des études internes, les autres c'était plutôt travailler au noir dans leur ancien travail les jours de repos. Il n'avaient pas choisi de devenir des policiers, mais de faire un travail tranquille avec beaucoup de temps libre et sans se fatiguer, comme disait notre regretté Coluche et surtout de faire attention que le travail nous rattrape pas, en bullant à un carrefour.

En revanche si vous faîtes semblant que vous êtes très bien, que vous buvez un petit verre de temps en temps, que vous riez aux plaisanteries graveleuses de certains collègues ou à leur flatulence, souvent odorantes et bruyantes dans des lieux clos, vous êtes très bien vus, vous êtes noyés dans la masse, moralité l'hypocrisie paie et paiera toujours, pour preuve je fais état d'un jeune collègue d'une promotion postérieure à la mienne plus jeune que moi, acceptait tout, puis un jour à fait sa demande à la BAC brigade anticriminalité départementale, il a de suite été accepté car à lui on ne reprochait rien, c'était pourtant un collègue et un très bon copain. Il me l'avait dit, ça ne me plaît pas d'aller boire avec eux, leur plaisanteries lourdes, mais je faisais semblant d'en rire et de ne jamais dire que je me sentais pas à ma place, sachant qu 'un jour je demanderai une mutation et étant même superficiellement apprécié de tous je pouvais que l'obtenir, mais même plus jeune que moi, il avait appris cela durant toute sa jeunesse par toute sa famille, c'est pour lui une façon d'anticiper leur hypocrisie, s'adapter à chacun.

Merci à vous Monsieur le Divisionnaire pour votre gentillesse, dommage que vous étiez malade ce que j'appris peu de temps après et près de la retraite, et que cet officier d'origine allemande se croyait encore  vivre il y a des années passées, sûrement que sa place aurait été bien mieux appréciée dans un service comme l'IGS.

 J'espère que vous lirez ce blog, ou l'un de vos enfants que j'ai connu aussi, juste un peu plus jeune que moi le lira, je vous fais que des compliments bien mérités.

Grâce à vous à vos compétences, si j'avais travaillé avec vous sans cet Officier et ce Patron inopérant je serait bien commandant.

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 22:55

A ce jour après être tombé dans une dépression 6 mois, consécutif à une bavure de l' IGS, j'ai eu droit à la GAV , puis la personne qui avait porté plainte s'est rétractée, qualifiée de dénonciation calomnieuse, j'ai eu un non lieu. J'ai touché mon salaire intégral,puis plus, rien première réponse qui sans en avoir été informé, je l'ai appris par surprise en téléphonant à la Préfecture.
J'écris au Président de la République, qui en quelques lignes, me dit ''' vous avez fait valoir vos droits à la retraite'' chose que je conteste, mais aucune réponse.
Je fais de même avec le nouveau Président, qui me répond pratiquement la même chose, je me sens perdu. Je suis encore jeune, donc je travaille à faire n'importe quoi pour manger, mais la Police me manque.
J'écris au Président actuel , qui me répond juste que j'ai été radié et que je ne peux réintégrer la Police, du fait que j'ai dépassé 55 ans sans autre motif, ne connaissant pas mon dossier et me propose la réserve civile qui me dit , non puisque vous êtes à la retraite depuis trop longtemps, je remercie la personne et je téléphone au service des retraites, qui me dit je n'ai pas votre dossier juste une information '' réformé'' elle me dit vous devez toucher une pension depuis tout ce temps, je réponds que non, on m'a toujours dit que j'étais mis à la retraite, et c'est elle qui me dit je ne comprends pas, au service retraite je n'ai rien, je demande votre dossier qu'elle récupère quelques temps après, et qui me confirme toujours ''réformé'' sans précision et que j'aurai été convoqué au conseil de réformes, chose que je démens fortement, en s'apercevant dans le dossier sans trop me dire, il manque des documents qui seraient ailleurs, vue la période des vacances, elle me dit le faire rapatrier, et de là aura plus d'informations, car elle -même est perdue, ces documents pourront nous éclairer, et confirment le fait que j'aurai bien été réformé et j'aurai du toucher une pension depuis le début, elle me dit on peut demander 4 ans de pension, pas plus pour résumer j'ai perdu 25ans, je conteste le fait d'avoir été réformé sans pouvoir me défendre n'ayant eu aucune convocation , donc à moi de faire ce qu'il se doit et contester, elle me passe le service médical qui lui ne me répond pas , elle me dit m’envoyer un formulaire , que je reçois fin Juillet 2011 qui cette fois précise bien ma mise à la retraite, en résumé je n'ai jamais mis à la retraite à ce jour fin Août 2011 je vais renvoyer les documents en question avec la lettre de demande des 4 années de pension.

J'ai écrie un blog, pour que plus ,jamais un collègue vive ce que j'ai vécu , surtout qu'il se batte si les faits se reproduisent et sache se faire entourer, moi j'ai toujours été seul et j'avais 26ans, pas un seul collègue, ni le syndicat m'ont rendu visite pendant cette arrêt maladie qui est consécutif à l'intervention

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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 23:26

MON AFFAIRE LA BAVURE

 

Je vais commencer par le début pas comme un roman, mais comme un rapport que je devrais relater au patron, je vais tenter de ne rien oublier, c'est loin mais pour moi c'est encore hier......... Les faits! Au cours d'une soirée entre amis je rencontre une fille que je raccompagne chez sa mère nous avions environ une vingtaine d'années, j'étais policier depuis quelques temps ayant passé le concours à 19a après mon service militaire aux pompiers de paris. Je revois cette fille quelques fois sans plus puis un jour elle m'invite à venir chez elle voir sa mère , j'accepte, je fais de même je l'invite chez moi enfin chez ma mère aussi puis au bout de quelques semaines elle me dit vouloir quitter sa mère , je ne savais rien sur elle tout comme elle sur moi, je n 'avais jamais fait usage de mes prérogatives professionnelles à des fins personnelles, elle semblait correct, la mère se disait travailler dans un milieu médical et la fille au chômage rien d'anormal à ça. J'accepte de l'héberger chez moi, sachant que dans tous les cas il lui fallait avant tout un travail, pour ma part je faisais les nuits . Au pire elle travaillait le jour et moi la nuit c'était plus de la colocation , je demandais pas un sous , je lui trouve un travail par hasard dans un supermarché comme vendeuse donc tout va bien j'offrais la nourriture et le logement car en plus elle m'annonce avoir un fils de quelques années et qui lui manquait , ayant de la place dans mon appartement et toujours quelqu'un de présent j'accepte encore, ma mère aussi et tout se passe bien quelques jours mais le fils créée des problèmes. D'un commun accord nous décidons de mettre fin à cette cohabitation ainsi qu'à notre relation amicale car elle décide d'arrêter de travailler chose que je n'ai pas accepté de principe, je voulais bien aider mais pas que l'on en profite, de plus il n'y avait aucun sentiment de ma part avec certitude. Nous revoilà ma mère et moi comme avant, elle avec sont travail moi le mien, tout va bien et quelques mois après alors que j'étais chez moi le téléphone sonne, c'est la dite fille en question avec une façon de parler un peu étrange à ce que je connaissais, je mets cela sur le fait qu'elle voulait me demander un service et n'osait pas, mais non la raison est toute autre je l'ai su après ainsi qu'au fil de la conversation sentant une vengeance car peut être elle ne trouvait pas de logement et m'en voulais et je l'écoute quand même, elle me propose tout autre chose, "viens près de ta banque , je sais que tu voulais changer de voiture , je peux t'aider, pour plusieurs raisons je refuse cette visite et lui ajoute j'ai pas besoin de voiture j'en ai acheté une autre, elle insiste à me faire venir avec un autre ton, je sens même qu'il y a du monde autour d elle, mais je suis catégorique et je lui dit pour avoir la paix je suis en arrêt maladie pour grippe et je ne peux sortir ce qui met fin à la discussion et quelques heures passent, je continue mes affaires à la maison, je prépare le repas du soir. , puis la sonnerie d'entrée se met à sonner sans arrêt, je ne panique je me dit ma mère a oublié ses clefs ou elle est trop chargée pour avoir fait des courses et souhaite de l'aide, je me précipite donc à la porte et je n'ai même pas le temps d'ouvrir la porte en bois que je suis plaqué contre le mur,ils planquaient aussi ma mère à la sortie du travail et ils l'ont suivi et plusieurs de l igs sont montés par l'escalier et d'autres dans l’ascenseur par plusieurs hommes dont un tout petit qui exhibe sa carte de réquisition en hurlant igs, et ajoute vous savez pourquoi on est là, je réponds que non puis revient dans ma tête cet appel téléphonique de la fille qui voulait me faire venir, mais loin de penser ce qu'elle avait pu leur dire . Comme j'ai dit c'est pas un roman que j'écris mais des faits réels vécus pas de suspense, on m'annonce de suite vous êtes en gav pour proxénétisme puis la perquisition débute , ma mère se trouve mal de voir tout ça le petit commissaire lui dit c'est pas grave on l'enverra à cusco selon ses dires j'étais là, mon chien était aussi présent mais gentil comme un agneau sauf à un moment quand ils me bousculent un peu trop fort en m'emmenant ds les pièces pour la perquisition , ils me disent faites le taire ou je lui mets une balle dans la tête à mon chien. Ils restent un bon moment à fouiller en vain et pour cause, ils trouvent dans un tiroir mes menottes persos que j'avais acheté et me les mettent du reste ils me les ont jamais rendu .... Ils poussent même la plaisanterie à me mettre les menottes devant et vont perquisitionner ma voiture et la cave et au même moment un officier et voisin leur demande la raison pour laquelle ils me font ça , comme chacun sait même un divisionnaire n'a pas trop de pouvoirs devant les boeufs , il leur dit juste de me mettre les pinces ds le dos et un imper par dessus ils acceptent suite à sa demande, puis ils téléphonent de chez moi et j'étais présent en disant qu'ils avaient rien trouvé je suppose qu on leur a quand même dit de me conduire bd du palais au siège à l'époque. On part avec deux voitures en gros il y avait huit flics bien serré dans la simca 1100 rose ou violette de l'epoque sans gyro ni deux tons on a mis au moins une heure je peux dire ça fait très mal avec les pinces de plus les miennes .... On arrive dans la cour du service, je suis conduit comme un gros truand dans le bureau du patron de l igs qui me fait me mettre à poil puis en cage avec toute la nuit deux collègues en permanence qui pour eux le motif de la gav était proxénète, je peux dire de savoir ça c'est horrible les plantons ont été gentils mais quand même moralement ça atteint moi qui n'avait jamais volé un bonbon comme bcp. Le lendemain après avoir passé la nuit sur un banc et sans nourriture et n'ayant pas mangé depuis la veille midi un inspecteur m'entend dans un bureau pendant des heures , devant mes réponses sans hésitation je n'ai pas été trop malmené par celui ci un jeune qui avait pas du choisir l igs je pense ....... J'apprends aussi qu'ils ont convoqué ma mère qui n'était pas en état physiquement mais qui est venue bien sur pour moi son fils . En fait en fin de journée un autre inspecteur vient signaler que la mère de la fille est au téléphone et souhaite parler , j'entends les réponses vue la configuration des lieux et je comprends que la fille s'est rétractée et avoue avoir menti que c'était les policiers qui l'avait poussé car elle avait été prise à faire le tapin et en fouillant à trouver mon nom sur son carnet d'adresse, en ajoutant c'est un flic de là je sais la suite mais pas qui a débuté l'affaire mais pour les boeufs c'était du pain béni "faire tomber un flic comme proxo" Suite à cet appel on fait venir ma mère qui était dans un autre bureau et sans s'excuser pour tout l igs me dit , la fille vient de retirer sa plainte pour nous vous être libre sans excuse . Pour tout ceux qui ont eu la gentillesse , je sais c'est long mais on se rend pas compte quand on écrit mais ma mémoire 30ans après est encore bien claire, et si cela n'est pas une bavure faudra m'en donner la définition car ils m'ont pas tué avec un calibre mais ça fait 30 ans que je suis mort ...... Quelques jours après , je suis convoqué à mon service et je signe un non lieu , sauf que j'étais allé voir le médecin chef qui m'a mis en arrêt de mois en mois et à chaque fois que je voyais un flic ou une voiture banalisée ou plusieurs personnes derrière moi j'avais peur Pour la suite si ça intéresse je pourrai vous dire qu on m'a laissé seul dans mon coin sans visite des collègues ni du syndicat et puis un jour sans passer devant un conseil j'ai été mis à la retraite , moi je voulais juste du temps qu on me soigne , j'ai même demandé au médecin de reprendre à ménager il a refusé

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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 23:15
Pour que tout ceux comprennent les raisons de ma détresse suite à la bavure de l'igs je vais tout écrire ici en détails tout est vrai vérifiable sauf si les procédures ont été ''perdues" mais je pense qu' un non lieu ne se perd pas.

 

J'ai remarqué que certains doutent, après 30 ans tout cela me hante jours et nuits 24/24 je suis peut être devenu fou, je ne suis pas médecin de plus je vois un psy qui me dit le contraire.

Je peux le redire pour les dubitatifs j'ai toutes les preuves que j'avance et même mieux à la condition que la personne qui doute a une solution , sinon il est vrai je mettrai téléphone adresse etc bonne soirée merci

 


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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 22:42
J'ai ouvert ce  blog il y a quelques années, je n'ai pas voulu donner tous les détails de ce que j'ai vécu, car mon but était d'informer de ce que cette institution était incapable mais tellement soutenu et zélé car pour eux faire une affaire, c'est faire tomber un flic sans même rien vérifier, je me souviens ça m'a marqué un voisin d'un collègue pour défaut de voisinage s'est plaint aux boeufs et ils sont venus perquisitionner le congélateur du collègue, motif du plaignant il m'a volé ma bétonnière et j'en passe j'ai juste voulu relater cette affaire qui a touché un collègue très proche, pour la suite je vais vous raconter ce que moi j'ai vécu, pour ceux qui en doutent c'est leur problème moi ça me hante jours et nuits depuis 30 ans, je n'ai pas pu créer de famille ......
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  • : Néo IGS Police -Ma vie détruite par la POLICE des Polices ( IGS )ou tristesse perpétuelle
  • : Ma vie, de ma naissance à ce jour, qui n'avait pas si mal débutée, puis arrêtée totalement moralement suite à une bavure de la Police des Polices, Pas de vie, ni femme ni enfant.
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  • Ce jour arrivant à  la soixantaine, j'avais un idéal de vie, débutant comme secouriste, puis Pompier de Paris, Policier à 20ans, poursuivant mes études pour ma carrière, puis....
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