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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 21:48


lundi 31 décembre 2012, mis à jour à 20h19


Le capitaine Swaracki, commandant de la communauté de brigades de Péronne, a fait visiter les lieux au sous-préfet Joël Dubreuil, en début de soirée.

Gendarmes, personnels hospitaliers et sapeurs pompiers sont mobilisés à Péronne, en ce soir de 31 décembre, pour assurer la sécurité des Haut-Samariens. Le sous-préfet, Joël Dubreuil, les a salués et encouragés, aux côtés de Valérie Kumm, maire de Péronne. Les gendarmes ont prévenu : 35 d'entre eux seront mobilisés, dès minuit, sur les routes de l'arrondissement, pour procéder à des contrôles d'alcoolémie. "Toute personne qui prend le volant ce soir a de fortes chances de nous croiser sur sa route", avertit le capitaine Coisne, commandant en second de la compagnie de Péronne.


http://www.courrier-picard.fr/Picardie-Express/Les-secours-sur-le-pont

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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:52

Les pelotons de gendarmerie de haute montagne sont des unités de la gendarmerie nationale française spécialisées dans le secours aux victimes.


Présentation

L'action de la gendarmerie en montagne repose essentiellement sur des unités spécialisées disposant d'un important potentiel technique au service de missions de secours et d'assistance.
La gendarmerie nationale possède des unités spécialisées composées de personnel de carrière ou sous contrat, appartenant à la spécialité « montagne », et de gendarmes adjoints volontaires techniquement qualifiés. Il s'agit des Pelotons de gendarmerie de haute montagne (PGHM) et des Pelotons de gendarmerie de montagne (PGM).
Les PGHM sont implantés dans chacun des départements des massifs alpins et pyrénéensainsi qu'en Haute-Corse et sur l'île de la Réunion. Ils ont une compétence territoriale étendue au département et, en tant que de besoin, aux massifs sur lesquels ils ont vocation à intervenir. Ils sont spécialement destinés aux missions de secours, aux enquêtes judiciaires concomitantes et à l'exercice de la police administrative.
Les PGM sont situés dans les Vosges, le Jura et le Massif central. Ils disposent d'une compétence territoriale et exercent des missions identiques aux PGHM. Seules les dotations en matériels diffèrent.
L'action de la gendarmerie repose aussi sur des brigades territoriales (brigades de montagne et de haute montagne) qui doivent pouvoir exercer leurs missions quelles que soient les conditions atmosphériques sur l'étendue de leur circonscription, et qui peuvent participer à des missions d'aide et d'assistance.
La gendarmerie dispose aussi d'une unité de formation du personnel des unités de montagne, le Centre National d’Instruction de Ski et d’Alpinisme de la Gendarmerie (CNISAG) basé àChamonix.
La formation du personnel spécialisé « montagne » comprend, dans une première partie, des cycles de formation militaire, techniques et spécifiques, dans une seconde partie, des cycles de formation du brevet d'État de guide de haute montagne et d'éducateur sportif ski alpin, et, dans une dernière partie, des stages de formation au sauvetage en montagne.
Effectifs

La gendarmerie compte environ 260 militaires (10 officiers et 250 sous-officiers de gendarmerie) spécialistes « montagne » répartis dans 20 unités :


  • 15 pelotons de gendarmerie de haute montagne (PGHM) :
VilleDépartementSituation
Chamonix Haute-Savoie Massif du Mont-Blanc
Briançon Hautes-Alpes Oisans, massif des Ecrins,massif des Cerces
Grenoble Isère Alpes
Bourg-Saint-Maurice Savoie Alpes
Modane Savoie Alpes
Annecy Haute-Savoie Alpes
Jausiers Alpes-de-Haute-Provence Alpes
Saint-Sauveur-sur-Tinée Alpes-Maritimes Alpes
Pierrefitte-Nestalas Hautes-Pyrénées Pyrénées
Bagnères-de-Luchon Haute-Garonne Pyrénées
Oloron-Sainte-Marie Pyrénées-Atlantiques Pyrénées
Savignac-les-Ormeaux Ariège Pyrénées
Osséja Pyrénées-Orientales Pyrénées
Corte Haute-Corse
Saint-Denis (Réunion) Réunion



  • 5 pelotons de gendarmerie de montagne (PGM) :
VilleDépartementSituation
Xonrupt-Longemer Vosges Massif des Vosges
Munster Haut-Rhin Massif des Vosges
Morez Jura Massif du Jura
Murat Cantal Massif central
Le Mont-Dore Puy-de-Dôme Massif central

Missions des spécialistes montagne[modifier]

À travers toutes ces unités, la gendarmerie participe, soit à titre exclusif, comme à Chamonix, soit en collaboration avec les CRS ou les services de sécurité civile et sapeurs-pompiers, aux plans départementaux de secours en montagne.
Elle exerce deux types de missions :


  • mission de police administrative consistant en une mission de police-liaison et une mission de secours (surveillance, prévention, information, secours et assistance)


  • mission de police judiciaire, une procédure judiciaire étant établie lors d'accident ayant entraîné une atteinte corporelle ou la mise en cause d'un professionnel de la montagne. En dehors de ces cas, un procès-verbal de renseignement judiciaire. Cette mission peut également s'exercer lors des enquêtes diligentées à la suite de catastrophe.
Plus concrètement, ses missions sont :

  • secourir les personnes en difficulté,
  • rechercher les personnes disparues ou décédées,
  • contrôler le respect des diverses réglementations et constater les infractions,
  • surveiller le secteur montagneux,
  • participer aux commissions de sécurité (refuge, domaine skiable, ouvertures de route…),
  • prévenir les accidents et informer le public,
  • mener les enquêtes consécutives à des accidents en montagne,
  • réaliser des expertises au profit des magistrats.
Ces gendarmes sont ainsi des secouristes mais aussi des enquêteurs qui opèrent en étroite collaboration avec d’autres intervenants (gendarmes pilotes d’hélicoptère, pilotes de la sécurité civile, gendarmes maîtres de chiens, médecins, etc.)


http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr">Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Peloton de gendarmerie de haute montagne de Wikipédia en français (auteurs)
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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:50




Crânes humains à l'IRCGN
L'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN), créé par décision ministérielle le 24 octobre 1990 et connu auparavant sous le nom de Section technique d'investigation criminelle de la gendarmerie(STICG), est une structure de la gendarmerie nationalefrançaise, chargée des aspects scientifiques des investigations. Basée à Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, la STIC a vu le jour le 23 février 1987 suite à l'affaire Grégory, les pouvoirs publics prenant conscience des insuffisances de l'investigation criminelle de la gendarmerie, ils chargent un polytechnicien, le commandant Serge Caillet1, de créer un sixième laboratoire français de police scientifique à côté des 5 laboratoires de la police nationale déjà existants2.

Organisation

L'IRCGN compte actuellement 249 personnes, dont la moitié de sous-officiers de gendarmerie, un quart d'officiers de gendarmerie et une trentaine de personnels civils (ingénieurs, techniciens et administratifs).
L'Institut est divisé en quatre services :


  • une division service-organisation ;
  • trois divisions criminalistiques, elles-mêmes divisées en 12 départements :
Parallèlement est créé en 1994 un service Assurance qualité, cellule de saisine et scellés à l'interface des 4 autres services. Chargé de mettre en place la politique Assurance Qualité, ce service permet à l'IRCGN de devenir le premier laboratoire français a être accrédité par laCOFRAC en 20072.

http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr">Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale de Wikipédia en français (auteurs)
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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:47
Par Laurent Chabrun, publié le 06/04/2010 à 16:00

Rapprochement avec la police, fermeture de brigades, crise d'identité... L'heure est au blues dans les gendarmeries. Malgré l'obligation de réserve, dans les associations ou sur Internet, la grogne n'hésite plus à s'exprimer.



JP Guilloteau/L'Express


Une "spéciale" avec Michel Drucker, le 4 mai, rien que pour eux ! Les pandores sont à la fête. Ou peut-être font-ils seulement l'objet d'un joli coup de communication de la part de leur hiérarchie, ce que nombre d'entre eux ne sont pas loin de penser. Il y a quelques jours, les gendarmes de toutes les brigades de France reçoivent un message de leur direction, les conviant à venir en masse jouer les figurants en uniforme au côté de l'inusable animateur. Mais on est loin du gendarme de Saint-Tropez. Les volontaires, spécifie le texte, doivent représenter "tous les grades et être d'excellente présentation, d'allure dynamique et sportive, souriants et représentatifs de la société d'aujourd'hui". L'invitation a reçu un accueil si mitigé qu'il a fallu relancer les troupes. Car les 100 000 intéressés ont d'autres soucis en tête que de passer à la télé, où ils n'auront évidemment pas le loisir d'évoquer ce qui les travaille. Tenus par l'obligation de réserve, sans syndicats pour les défendre, ces fils de la Grande Muette n'ont pas droit à la parole. Et malheur à celui qui transgresse les règles, comme vient d'en faire les frais le chef d'escadron Jean-Hugues Matelly, radié des cadres le 25 mars dernier par décret du président de la République. Il s'était rendu coupable d'avoir critiqué le rapprochement entre la police et la gendarmerie sous l'égide du ministère de l'Intérieur. C'est donc maintenant sur Internet, plus discrètement, que s'exprime le blues des gendarmes.

Deux gendarmes pour des milliers de personnes

Des maréchaux à Hortefeux

Née au Moyen Age pour surveiller les bandes de mercenaires qui se livraient au pillage, la maréchaussée (elle avait été placée sous la direction des maréchaux de France) trouve son appellation actuelle pendant la Révolution. Particulièrement choyée par Napoléon, puis par la IIIe République, la gendarmerie prend véritablement son essor après la Première Guerre mondiale. Passé la période de l'Occupation et de la collaboration - et le rôle critiquable joué alors par les forces de l'ordre - elle prend un nouveau tournant dans les années 1970, avec la création d'unités d'élite comme le GIGN. Elle se féminise. En 2008, 105 201 gendarmes étaient en poste sur le territoire, la plupart d'entre eux dans les 3 600 brigades disséminées dans le pays. En 2010, Brice Hortefeux a annoncé le recrutement de 6 514 gendarmes. Le concours est souvent tenté par de jeunes diplômés ayant effectué deux ou trois années d'université. La gendarmerie est l'arme favorite des recrues de l'école militaire de Saint-Cyr, car on y exerce un commandement plus rapidement que dans les autres corps d'armée
Le quartier général de cette guérilla informatique se trouve dans une petite maison blanche, au coeur de la campagne bretonne.Ronald Guillaumont, jovial retraité, livre bataille de son minuscule bureau, où de gros ordinateurs ronronnent et des disques durs alignés en rangs serrés moulinent à perdre haleine. L'ensemble clignote comme un sapin de Noël, preuve d'une activité numérique soutenue. "Il y a deux ans, explique l'ex-militaire, nous avons repris un ancien site contestataire qui était tombé en désuétude pour créer le forum Gendarmes et citoyens. Preuve que le mal-être est grand, aujourd'hui, nous en sommes à 17 000 inscrits, dont les trois quarts de gendarmes actifs." Si tous ces internautes grognent, ils ne grognent pas tous pour la même chose.
Rendez-vous est pris avec l'un de ces "râleurs" anonymes. Rarement rencontre aura été si discrète : une fermette, au fond d'une impasse, enfouie dans un hameau entouré de champs. Attablé dans sa cuisine, "Monsieur X", officier d'expérience, peste contre la réorganisation des brigades territoriales. Il explique que, désormais, des "brigades mères" plus importantes cornaquent des "brigades filles", constituées par les plus petites unités de la zone. Que ces dernières deviennent souvent des brigades dortoirs, de simples casernements pour les militaires et leurs familles. Il accuse : "Tout ça a été mis en place sur un coin de table, sans réelle réflexion. Du coup, des brigades ont été fermées et d'autres sont maintenues avec des effectifs réduits." Parfois, il arrive même qu'il n'y ait pas plus de deux gendarmes en poste, la nuit, pour garantir la sécurité de dizaines de milliers de personnes sur des territoires de plusieurs centaines de kilomètres carrés. Alors, forcément, les délais d'intervention s'allongent. L'autre jour, dans ce département alpin couvert de neige, des habitants ont dû attendre une heure trente avant de voir arriver la maréchaussée. "La proximité, l'ancrage dans la population, c'est le coeur de notre métier, or nous sommes en train de l'abandonner", soupire le gradé. Ce changement d'époque désarçonne aussi les habitants. "On nous habitue à parler à des interphones qui renvoient les appels vers les grosses unités plutôt qu'à de vrais gendarmes, se plaint l'un d'eux. C'est sûr, on nous prépare à la disparition complète des petites brigades." "Maintenant, pour rencontrer un gendarme, mieux vaut le chercher sur la route nationale, planqué derrière un radar en train de contrôler la vitesse, qu'à la caserne", ironise un commerçant. Fini, le temps où le gendarme, à l'instar de l'instituteur ou du médecin, comptait parmi les notables locaux. Son statut matériel, lui aussi, a changé. Il y a quelques dizaines d'années, il pouvait acheter une maison avec son salaire, alors environ deux Smic. Maintenant, en raison de la flambée de l'immobilier, "il faut trente ans de crédit et une femme qui travaille", glisse l'un d'eux. "C'est la fin d'une époque", concède ce maréchal des logis, dont la voix trahit la fatigue des dernières vingt-quatre heures, consacrées au démantèlement d'un réseau de braqueurs.
Cette époque-là, les jeunes ne l'ont pas connue. Ils ne sont d'ailleurs pas mécontents d'une évolution de leur métier qui leur offre davantage de temps libre. N'empêche, "beaucoup quittent la gendarmerie après quelques années seulement, alors qu'auparavant on y faisait toute sa carrière", note le maréchal des logis en touillant son troisième café. Car, pour les nouvelles générations, la vie en vase clos à l'ombre de la caserne devient de moins en moins facile à supporter, de plus en plus anachronique. Et c'est encore pire pour les épouses. "Vous n'imaginez pas ce que c'est de croiser en permanence la femme du commandant sur votre palier !" soupire l'une d'elles. Dans les brigades, la convivialité se perd, on n'use plus guère du "sous-marin", cette petite pièce discrète réservée jadis aux apéritifs divers.
Beaucoup plus de 30 suicides par an pour 100 000 gendarmes

Il faut aussi veiller aux fichus chiffres de la délinquance, si explosifs politiquement. Pour présenter un bon bilan à leur hiérarchie, certains patrons de brigades - tout comme leurs collègues policiers - minorent le nombre de plaintes, transforment les délits en simples contraventions. La hiérarchie ? "Nos grands chefs ne pensent qu'à leur carrière, grince un officier quadragénaire. Ils sortent tous de Saint-Cyr et ne cherchent qu'à collectionner les étoiles ; la gendarmerie, au fond, ils s'en fichent." Cerise sur le gâteau, ces saint-cyriens occupent tous les hauts grades, ce qui empêche la promotion d'hommes venus de la base.

Régulièrement, les journaux rapportent des suicides de brigadiers sur leur lieu de travail. L'armée en recense une trentaine par an pour 100 000 gendarmes, ce qui correspond à un tiers de plus que le taux de mortalité par suicide en France. Mais ces chiffres ne tiennent compte que des actes commis dans les locaux de la maréchaussée ou sur la voie publique. "Si l'on ajoute les suicides qui ont lieu au domicile, on double les chiffres", estime Ronald Guillaumont, patron du forum contestataire. Une chose est sûre: le découragement gagne. "Sur les 20 gendarmes que je commande, je peux compter sur les doigts d'une main ceux qui sont réellement impliqués dans leur travail", déplore un patron de brigade. N'est-ce pas d'ailleurs ce qu'a osé écrire le colonel Espié à son préfet alors qu'il était en poste en Ardèche ? Dans ce courrier, opportunément rendu public et qui a fait de lui une sorte de héros des protestataires, il affirme que "le sentiment actuel est à la résignation, ce qui ne saurait être de bon augure"... Ronald Guillaumont et ses amis n'ont pas manqué de relayer ce message. Une manière de former le dernier carré, pour protéger le drapeau.




http://www.lexpress.fr/actualite/societe/le-blues-des-gendarmes_882406.html
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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:46
Les braqueurs ne prennent pas de congés dans le Vaucluse. Dimanche soir, c'est un bar-tabac de Pertuis, le Longchamp, qui en a fait les frais. Ou presque, puisque le patron est parvenu à faire fuir ses trois assaillants armés d'un pistolet, irrité qu'il était par cette 2e attaque en deux mois alors qu'il n'a repris le commerce qu'en septembre... Son témoignage est à lire demain dans nos éditions de Vaucluse Matin.
Ce lundi 31 décembre à 13h, c'est une boulangerie de la même ville, celle située à côté de l'enseigne Bricorama, qui a été braquée par un homme seul, armé et visage dissimulé par une capuche. Ilest parvenu à emporter la caisse. Les gendarmes de la compagnie de Pertuis enquêtent sur ces deux affaires.

par J.G. le 31/12/2012 à 15:49

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/12/31/braquages-a-pertuis-un-bar-tabac-et-une-boulagerie-attaques
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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:41
La Gendarmerie est composée de deux subdivisions d'arme principales dont les grades sont du type armes montées :

  • la gendarmerie départementale
  • la gendarmerie mobile (couleur des insignes inversée)
Elle est organisée en régions de gendarmerie, qui correspondent, depuis 2005, aux régions administratives. Ces régions sont divisées en :

  • groupements de gendarmerie départementale, au niveau du département, eux-mêmes subdivisés en compagnies de gendarmerie auxquelles sont rattachées des communautés de brigades ou des brigades territoriales autonomes, ainsi que diverses unités spécialisées (brigades de recherche, pelotons de surveillance et d’intervention, etc.) ;
  • groupements de gendarmerie mobile, directement rattachés à la région zonale, subdivisés en escadrons de gendarmerie mobile organisés en pelotons.
Les gendarmeries spécialisées sont :
Il existe également un corps technique et administratif de la Gendarmerie nationale, composé d’officiers (CTA) et de sous-officiers (CSTAGN). De couleur grise à l’origine, le galon d’élite et le fond de leur coiffure ainsi que leurs fourreaux d’épaule sont, depuis 2008, semblables à ceux de la gendarmerie départementale, à l’exception des deux chevrons argent au-dessus de la grenade « bois de cerf ».

Officiers et aspirants

Officiers généraux

Officiers générauxDésignationabréviation [code OTAN]1AppellationNiveau de commandement habituelInsignes
Général de division avec rang et appellation de général d'armée2 GA [OF-9] mon général ougénéral(féminin)3 Directeur général de la Gendarmerie nationale ou inspecteur général des armées-gendarmerie
Général de division avec rang et appellation de général de corps d'armée4GCA [OF-8] mon général ougénéral(féminin) Directeur de la Direction générale ou commandant de région de gendarmerie, chef-lieu de zone de défense et de sécurité
Général de divisionGDI [OF-7] mon général ougénéral(féminin) Chef de mission de la Direction générale ou commandant de région de gendarmerie, chef-lieu de zone de défense et de sécurité
Général de brigadeGBR [OF-6] mon général ougénéral(féminin) Sous-directeur de la Direction générale ou commandant de région de gendarmerie non zonale
Officiers supérieurs

Les grades sont identiques pour les réservistes.
Officiers supérieursDésignationabréviation [code OTAN]AppellationGendarmerie départementaleGendarmerie mobileGarde républicaineCorps technique et administratif
Colonel COL [OF-5] mon colonel ou colonel (féminin)
Lieutenant-colonel LCL [OF-4] mon colonel ou colonel (féminin)
Chef d'escadronCES oucommandant5CDT [OF-3] mon commandant ou commandant (féminin)
Officiers subalternes et aspirants

Les grades sont identiques pour les réservistes.
Officiers subalternes et aspirantsDésignationabréviation [code OTAN]AppellationGendarmerie départementaleGendarmerie mobileGarde républicaineCorps technique et administratifVolontaires des armées
CapitaineCNE [OF-2] mon capitaineoucapitaine(féminin) Inexistant
LieutenantLTN [OF-1] mon lieutenantoulieutenant(féminin) Inexistant
Sous-lieutenant6SLT [OF-1] mon lieutenantoulieutenant(féminin) Inexistant
Elève-officier7EOC ouaspirant8ASP [OF(D)] mon lieutenantoulieutenant(féminin)
Sous-officiers

Les grades sont identiques pour les réservistes.
Sous-officiersDésignationabréviation [code OTAN]AppellationGendarmerie départementaleGendarmerie mobileGarde républicaineCorps technique et administratif de la gendarmerieVolontaire des Armées
Major MAJ [OR-9] major Inexistant
Adjudant-chef ADC [OR-9] mon adjudant-chef ouadjudant-chef(féminin) Inexistant
Adjudant ADJ [OR-8] mon adjudant ouadjudant(féminin) Inexistant
Maréchal des logis-chef MDC [OR-6] en principemaréchal des logis-chef 9, en pratiquechef Inexistant
GendarmeGND ougarde GRD [OR-5] 10 11 gendarmeou garde, voirechef12 Inexistant Inexistant
Maréchal des logis13MDL [OR-5] maréchal des logis Grade inexistant dans le corps des sous-officiers de gendarmerie
Élève sous-officier14[OR-4] par le nom essentiellement avancement des brigadiers-chefs
Militaires du rang

Les grades sont identiques pour les réservistes.
Désignation abréviation [code OTAN]AppellationVolontaire des Armées
Brigadier-chef BCH [OR-4] brigadier-chef
Brigadier BGD [OR-3] brigadier
Gendarme adjoint (de 1ère classe)15 GAV [OR-2] par le nom
Gendarme adjoint (de 2ème classe) GAV [OR-1] par le nom
Pyramide des grades dans la gendarmerie[modifier]

Budget 1997 16 : 92 905 militaires (gendarmerie, soutien technique et administratif, appelés du contingent)
GradeEffectif actifProportionSituation
Général de division 7 0,01 % [99,99 % - 100 %]
Général de brigade 16 0,02 % [99,98 % - 99,99 %]
Colonel 192 0,21 % [99,77 % - 99,98 %]
Lieutenant-colonelChef d'escadron
950 1,0 % [98,7 % - 99,77 %]
CapitaineLieutenant
Sous-lieutenant
1 747 1,9 % [96,9 % - 98,7 %]
Aspirant 223 0,2 % [96,6 % - 96,9 %]
Major 1 523 1,6 % [95,0 % - 96,6 %]
Adjudant-chef 3 597 3,9 % [91,1 % - 95,0 %]
Adjudant 8 710 9,4 % [81,7 % -91,1 %]
Maréchal des logis-chef, sergent-chef 8 569 9,2 % [72,5 % - 81,7 %]
Gendarme, garde 54 746 58,9 % [13,6 % - 72,5 %]
Maréchal des logis, sergent 1 018 1,1 % [12,5 % - 13,6 %]
Brigadier-chef 773 0,8 % [11,7 % - 12,5 %]
Brigadier 1 557 1,7 % [10,0 % - 11,7 %]
Gendarme auxiliaire 9 277 10,0 % [0 % - 10,0 %]
Officiers : 3,1 % - Aspirants : 0,2 % - Sous-officiers : 84,1 % - Rang : 12,5 %.
Parmi les sous-officiers : Gradés : 24,1 % - Gendarmes : 58,9 % - MDL et sergents : 1,1 %



Budget 2012 17 : 92 658 militaires (gendarmerie, soutien technique et administratif, volontaires des armées)
GradeEffectif actifProportionSituation
Général de division 30 0,03 % [99,97 % - 100 %]
Général de brigade 40 0,05 % [99,92 % - 99,97 %]
Colonel 439 0,47 % [99,45 % - 99,92 %]
Lieutenant-colonelChef d'escadron, commandant
1 987 2,1 % [97,3 % - 99,45 %]
CapitaineLieutenant
Sous-lieutenant
4 357 4,7 % [92,6 % - 97,3 %]
Aspirant 293 0,3 % [92,3 % - 92,6 %]
Major 3 508 3,8 % [88,5 % - 92,3 %]
Adjudant-chef 7 539 8,1 % [80,4 % - 88,5 %]
Adjudant 13 265 14,3 % [66,0 % - 80,4 %]
Maréchal des logis-chef 15 195 16,4 % [49,7 % - 66,0 %]
Gendarme, garde 31 874 34,4 % [15,3 % - 49,7 %]
Maréchal des logis 2 738 3,0 % [12,3 % - 15,3 %]
Brigadier-chef 2 224 2,4 % [9,9 % - 12,3 %]
Brigadier 3 163 3,4 % [6,5 % - 9,9 %]
Gendarme adjoint 6 006 6,5 % [0 % - 6,5 %]
Officiers : 7,4 % (+135 % par rapport au budget de 1997) - Aspirants : 0, 3 % (+ 31 %) - Sous-officiers : 80,0 % (- 5 %) - Rang : 12,3 % (-2 %).
Parmi les sous-officiers : Gradés : 42,6 % (+ 76 %) - Gendarmes : 34,4 % (- 42 %) - MDL : 3,0 % (+ 169 %)


http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr">Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Grades de la gendarmerie nationale (France) de Wikipédia en français (auteurs)
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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 18:01


Agriculture et gendarmerie, métiers où il y a le plus de suicide

Confrontés aux difficultés, des centaines d'agriculteurs se pendent, tandis que des dizaines de gendarmes se tirent une balle de pistolet dans la tête.
Pourquoi tant de suicides dans la gendarmerie et dans l'agriculture en France ?

Alors que les suicides à France Télécom font la « une » des journaux, ceux des agriculteurs, bien plus fréquents, restent le plus souvent dans l’anonymat. À tel point que les estimations varient du simple au triple, avec une estimation de 400 suicides d'agriculteurs par an en France. La crise se ressent ici plus qu’ailleurs et l’hécatombe s’accélère de mois en mois, avec le plus souvent une cause bien identifiée : des dettes devenues impossibles à rembourser et la pression des banques.

Des paysans "pris à la gorge" par les industries laitières et par les banques
Les banques ont une "responsabilité lourde" dans les centaines de suicides recensés dans le monde paysan d'après les syndicalistes. Mais, les grands groupes, comme Lactalis (qui tirent le prix du lait vers le bas), et l'Europe, qui a réduit l'indemnité compensatrice annuelle de handicap à 110 euros par hectare en France, contre 400 euros versés par hectare à d'autres pays récemment entrés dans l'Union (Roumanie par exemple où de nombreux Suisses achètent des milliers d'hectares pour bénéficier de ces retombées financières durant les prochaines années) ont aussi une énorme part de responsabilité !

Beaucoup de suicides en gendarmerie, où les militaires sont "pressés comme des citrons"
Les gendarmes sont-ils contents de leur sort ? Bien que le sujet soit tabou en France, et occulté par des milliers de journalistes dociles et serviles, la contestation en gendarmerie existe, même si elle est peu relayée à la télévision. Depuis plusieurs années, un vent de fronde souffle dans la gendarmerie et dans les force Armées Françaises. Cette contestation a été portés à ses débuts par des officiers supérieurs de la gendarmerie, notamment par le chef d'escadron Mattelly, en 2007, 2008, 2009, et le colonel Philippe Espie, patron du groupement de gendarmerie de l'Ardèche en 2010. Dans tous les cas, les officiers contestataires ont immédiatement été remplacés par des officiers supérieurs plus dociles. Suite 101 a été un des rares médias à enquêter sur les armées Françaises où le colonel Goya a défié le ministre G. Longuet.

Régulièrement, les journaux nationaux et régionaux rapportent des suicides de brigadiers sur leur lieu de travail. L'armée en recense officiellement moins d'une trentaine par an pour 100 000 gendarmes, ce qui correspond à un tiers de plus que le taux de mortalité par suicide en France. Mais ces chiffres ne tiennent compte que des actes commis dans les locaux de la maréchaussée ou sur la voie publique.

"Si l'on ajoute les suicides qui ont lieu au domicile, on double les chiffres", affirme Ronald Guillaumont, patron du forum contestataire en gendarmerie. Une chose est sûre: le découragement gagne, comme le montrent plusieurs enquêtes de Suite 101.

"Sur les 20 gendarmes que je commande, je peux compter sur les doigts d'une main ceux qui sont réellement impliqués dans leur travail", déplore un commandant de brigade, joint par téléphone. N'est-ce pas d'ailleurs ce qu'a osé écrire le colonel Espié à son préfet alors qu'il commandait le groupement de gendarmerie de l'Ardèche ? Dans ce courrier, opportunément rendu public et qui a fait de lui une sorte de héros des protestataires, il affirme que "le sentiment actuel est à la résignation, ce qui ne saurait être de bon augure"... .

Le mystère de la mort violente du gendarme Myriam Sakhri à la caserne de Lyon Le gendarme Myriam Sakhri s'est-elle réellement suicidée ? A-t-elle été assassinée ? C'est ce que cherche à savoir la famille de cette jeune femme gendarme de 32 ans retrouvée morte le 24 septembre 2011 dans son logement de fonction, à la caserne Delfosse de Lyon. Elle est morte d'une balle tirée en pleine poitrine avec son arme de service.

Sa famille a déposé une plainte contre X pour "homicide volontaire, harcèlement moral et provocation au suicide" pour tenter de faire la lumière sur une affaire qui comporte bien des zones d'ombre. Mais, il semblerait que l'enquête et l'instruction n'aient pas progressé depuis un an !

Rhône-Alpes et l'Ile de France détiennent le record des suicides en gendarmerie oui La gendarmerie, partie intégrante de l'armée, "la grande muette", fidèle à sa réputation, s'est enfermée dans son mutisme sur ce sujet sur lequel bien évidemment elle ne communique pas, ni ne publie de statistiques. Néanmoins, plusieurs suicides de gendarmes et de cadres en Rhône-Alpes, dont celui du capitaine de la brigade de Saint-Vallier le 27 avril 2012 (lire aussi la Voix du Nord), le décès du gendarme Myriam Sakhri paru sur armée-média ICI , conduisent les observateurs à s'interroger sur les conditions de travail des gendarmes dans plusieurs départements de Rhône-Alpes, avant même les ratages judiciaires dans la traque du violeur des campings de l'Ardèche, qui n'ont rien à envier à l'enquête de l'inspection judiciaire à Mayotte après 2 décès.

Pendant ce temps, la hiérarchie de la gendarmerie parade, du côté de Genève, en signant un accord de coopération entre gendarmes Français et policiers Suisses.

Le site Armée-média a pris l'heureuse initiative de jeter un premier pavé dans la mare en publiant et en tenant à jour le nombre de suicides annuels officiellement recensés par région et par mois, en s’appuyant sur des articles parus dans les faits divers des journaux régionaux et sur le forum Gendarmes et Citoyens.

En 2011, 25 militaires de la gendarmerie se sont suicidés et 19 suicides officiels sont déjà recensés en 2012
Les régions les plus touchées sont l’Ile de France (5), Rhône-Alpes (3), des secteurs où les gendarmes subissent les pressions constantes de la hièrarchie et des magistrats des parquet, pour une "culture du résultat", avec à la clé des enquêtes pénales souvent baclées, la Haute-Normandie, le Centre, le Limousin, la Franche-Comté et l’Alsace (2 dans chacune des régions), et le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie, la Champagne, la Bretagne, l’Auvergne, les Alpes-Provence-Cote d’azur et les Antilles-Guyane (1 dans chacune des régions).

Aucune radio nationale, aucune télévision publique ou privée n'a relayé, à ce jour le malaise dans l'armée et les critiques graves, exprimées par plusieurs officiers supérieurs en activité, "d'incapacité de l'armée à remplir efficacement les missions données....". Une chape de plomb médiatique a noyé dans le sarcophage du silence les récentes critiques émanant d'officiers supérieurs. Sans la conscience professionnelle de quelques quotidiens nationaux, les avis critiques d'officiers ne seraient jamais sortis des casernes !

24 suicides en gendarmerie en 2011
janvier 2011, un Gendarme Adjoint Volontaire s'est suicidé en Haute-Saône (70).
février 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Doubs (25).
février 2011, un Gendarme s'est suicidé en Haute-Vienne (87).
mars 2011, un Gendarme s'est suicidé dans les Yvelines (78).
mars 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Loir-et-Cher (41).
mai 2011, un Gendarme s'est suicidé dans l'Eure (27).
juin 2011, un Gendarme s'est suicidé dans les Bouches-du-Rhône (13).
juillet 2011, un Gendarme s'est suicidé dans la Loire (42).
juillet 2011, un Gendarme s'est suicidé en Isère (38).
août 2011, un Gendarme s'est suicidé en Ille-et-Vilaine (35).
août 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Pas de Calais (62).
août 2011, un Gendarme s'est suicidé en Guyane (973).
septembre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Puy-de-Dôme (63)
septembre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans les Ardennes (08).
septembre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Rhône (69).
octobre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Val d'Oise (95).
octobre 2011, un Gendarme s'est suicidé en Haute Vienne (87).
octobre 2011, un Garde Républicain s'est suicidé à Paris (75).
octobre 2011, un Garde Républicain s'est suicidé à Paris (75).
octobre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans l'Oise (60).
novembre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Haut-Rhin (68).
novembre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Loiret (45).
décembre 2011, un Gendarme s'est suicidé dans le Bas-Rhin (67).
décembre 2011, un Gendarme s'est suicidé en Seine Maritime (76).
2 0 1 2

19 suicides connus en gendarmerie en 2012
février 2012, un gendarme s'est suicidé en région Pays de Loire.
février 2012, un gendarme s'est suicidé dans les Vosges
février 2012, un gendarme s'est suicidé à Aiton en Savoie
février 2012, un gendarme s'est suicidé à Pointe à Pitre
mars 2012, un gendarme s'est suicidé à Clermont Ferrand
mars 2012, une gendarme adjoint volontaire s'est suicidée à L'ARBRESLE, Rhône.
mars 2012, un gendarme s'est suicidé à LONGUE Maine et Loire.
avril 2012, un gendarme s'est suicidé à METZ QUEULEU, Moselle.
avril 2012, un gendarme s'est suicidé à SAINT VALLIER, Drôme.
mai 2012, un gendarme s'est suicidé à MONTBRISON, Loire.
juin 2012, un gendarme s'est suicidé à BORDEAUX, Gironde.
debut Juin 2012, un gendarme adjoint s'est suicidé à BROMONT LAMOTHE, Puy de Dôme
juin 2012, un gendarme s'est suicidé à VENTISERI, Corse.
juin 2012, un gendarme s'est suicidé à TOULON, Var.
juin 2012, un gendarme s'est suicidé à PARAY LE MONIAL, Saône et Loire.
juin 2012, un gendarme s'est suicidé à MELUN, Seine et Marne.
juillet 2012, un gendarme s'est suicidé à VERGT, Dordogne.
uillet 2012, un gendarme adjoint volontaire s'est suicidé à LIMOUX, Aude.
août 2012, un gendarme s'est suicidé à HAZEBROUCK, Nord.

http://suite101.fr/article/agriculture-et-gendarmerie-metiers-ou-il-y-a-le-plus-de-suicide-a35389#ixzz27GqpyHCI

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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 17:23
La réserve opérationnelle de la Gendarmerie Nationale (ROGN) est constituée d'anciens Gendarmes, d'anciens appelés du contingent, d'anciens militaires et de jeunes volontaires ayant suivi un cursus de formation spécifique appelée Préparation Militaire Gendarmerie (PMGqui dure une quinzaine de jours) ou une Préparation Militaire Supérieure de Gendarmerie (PMSG qui se déroule sur 5 semaines bloquées). Ensuite, pour ceux qui en ont le potentiel, ils pourront suivre le cursus d'Élève Officier de Réserve en intégrant le PEOR.
La ROGN est destinée à renforcer les unités d'active de Gendarmerie au quotidien en apportant un effectif supplémentaire aux unités qui en éprouvent le besoin et à apporter une aide lors d'évènements impliquant de grands rassemblements de personnes (manifestations sportives et culturelles principalement).
Les réservistes de la Gendarmerie sont affectés dans des unités de réserve constituées, ou à titre individuel dans des unités d'active en fonction de leurs compétences propres. Selon leur expérience et leur formation, les réservistes de la gendarmerie disposent d'habilitations judiciaires différenciées. Ils peuvent être agent de la force publique, agent de police judiciaire adjoint ou agent de police judiciaire. La qualité d'officier de police judiciaire n'est pas accessible aux réservistes.
On trouve principalement deux types d'unités de réserve :

  • Les Pelotons de Réserve de Surveillance et d'Intervention de Gendarmerie (PRSIG). Généralement attachés aux compagnies de Gendarmerie les PRSIG assurent des missions de surveillance générale et constituent une réserve d'intervention au profit des unités territoriales d'active.
  • Les Escadrons de Réserve de Gendarmerie Mobile (ERGM). Les ERGM effectuent des missions de renfort à la Gendarmerie Départementale ou des missions autonomes en unité constituée lors de services d'ordres ou d'opérations de sécurisation dans le cadre de grands rassemblements de personnes. Il existe au moins 1 ERGM par région de Gendarmerie.
La réserve opérationnelle Gendarmerie est accessible aux volontaires après un cursus de formation. Les candidats doivent constituer un dossier pour intégrer une PMG auprès de la brigade de Gendarmerie de leur domicile ou auprès du CIRGend (Centre d'Information et de Recrutement Gendarmerie) de leur région. Les volontaires ayant effectué un service national dans une autre armée doivent faire une demande de changement d'armée au profit de la Gendarmerie, ils sont dispensés d'effectuer une PMG.
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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 17:22

La Brigade Départementale de Renseignements et d'Investigations Judiciaires est une unité de la Gendarmerie Nationale française chargée de centraliser, d'orienter, de diffuser et d'exploiter les fichiers nationaux concernant les personnes et les véhicules recherchés et d'effectuer des rapprochements judiciaires au profit des unités. Il en existe une par Groupement. Anciennement B.D.R.J (Brigade Départementale de Renseignements Judiciaires)
Les brigades et unités spécialisées (Sections de Recherches, Brigades de Recherches) alimentent en informations JUDEX par les messages de police judiciaire (MPJ) et les messages d’éléments d’identification (MEI) et peuvent accéder en retour aux bases de données constituées soit directement à partir des terminaux informatiques en dotation (systèmes SAPHIR puis RUBIS) soit par l’intermédiaire des BDRIJ au niveau du Groupement.
Les BDRIJ sont des unités de recherches à part entière, en pleine mutation, bien qu'une grosse partie de leur activité soit centrée sur la gestion des statistiques de la délinquance. Elles se trouvent sous le commandement direct des Commandants de Groupements et généralement aussi des officiers adjoints chargés de la police judiciaire (OAPJ). Elles sont généralement structurées en trois cellules : une cellule commandement, une cellule d'information et de rapprochements judiciaires (CIRJ), et une cellule d'investigations criminelles (CIC).


http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr">Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Gendarmerie nationale (France) de Wikipédia en français (auteurs)

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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 23:02


L’Unité de coordination de la lutte antiterroriste ou UCLAT est une structure française regroupant des représentants de toutes les directions actives de la Police nationale ainsi que de la Gendarmerie nationale. Elle est dirigée par le Contrôleur Général de la Police Nationale Loïc Garnier, secondé par un officier supérieur de gendarmerie.
Créée le 8 octobre 1984, cette structure assure la coordination de l’ensemble des services chargés de la lutte contre le terrorisme. Elle fait au quotidien l’analyse et la synthèse des informations relatives au terrorisme en travaillant étroitement avec la Direction centrale du renseignement intérieur, la Direction générale de la sécurité extérieure, la Gendarmerie nationale - Bureau de la lutte anti-terroriste et la Direction générale des douanes.
L’UCLAT veille notamment au partage des informations opérationnelles pertinentes par l’ensemble des autorités et des services civils et militaires concernés par la lutte antiterroriste, y compris les magistrats antiterroristes et l’administration pénitentiaire.
L'UCLAT est directement rattachée au cabinet du Directeur général de la police nationale.
Ses effectifs sont de l'ordre de 55 fonctionnaires, antenne de Pau incluse.


Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Unité de coordination de la lutte antiterroriste de Wikipédia en français (auteurs)

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  • : Ma vie, de ma naissance à ce jour, qui n'avait pas si mal débutée, puis arrêtée totalement moralement suite à une bavure de la Police des Polices, Pas de vie, ni femme ni enfant.
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  • Ce jour arrivant à  la soixantaine, j'avais un idéal de vie, débutant comme secouriste, puis Pompier de Paris, Policier à 20ans, poursuivant mes études pour ma carrière, puis....
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