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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 20:49

 

lundi 10 décembre 2012

À l'approche des fêtes, la surveillance des sites de commerce en ligne est renforcée. Aux manettes, l'équipe d'une vingtaine d'enquêteurs de la DGCCRF (concurrence et fraude) basée à Morlaix.

« Les clients ont commandé du caviar sur Internet et se sont retrouvés avec des œufs d'origine végétale », lance Thierry Skonieny, directeur du Centre de surveillance du commerce électronique (CSCE) basé à Morlaix, dans le Finistère.

Faux champagne avec paillettes d'or, jouets non conformes, caviar d'escargot qui n'existe pas... C'est ce genre de fraudes que les dix cyber-enquêteurs morlaisiens, renforcés par une dizaine d'autres dans toute la France, traquent sur les 100 000 sites marchands français. Un pôle unique en France qui dépend de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes).

La mission ? Flairer et dénicher les cyber-arnaques. Une surveillance d'autant plus importante à la période de Noël, époque où les gens font de plus en plus d'achats sur Internet.

Produits « à risques »

« Nous faisons en sorte que la consommation en ligne dispose de la même protection et respecte les mêmes réglementations que dans votre magasin habituel, explique Thierry Skonieny. La Toile n'est pas une zone de non-droit. »

À l'occasion des fêtes de fin d'année, une liste des produits « à risque » a même été établie : jambon AOC, caviar, certains alcools... Les cyber-enquêteurs guettent tout produit contrefait, non conforme ou dangereux.« Les marques et les articles de luxe sont plus particulièrement ciblés », précise Thierry Skonieny. Les jeux et jouets, qui doivent normalement respecter les normes européennes, sont également concernés.

Le principe de la fraude est multiple : faux produits, faux avis de consommateurs pour induire en erreur, faux soldes, objets défectueux ou jamais reçus... Ces commerçants peu scrupuleux vendent en ligne à partir de leur propre site ou via des plates-formes de mise en relation entre internautes, comme, par exemple, eBay. Dernier exemple en date : les éthylotests. « Si ce n'est pas un produit purement festif, on sait qu'il va servir. Or, ces derniers mois, ils s'en vendaient des non conformes. C'est dangereux. On les a fait retirer. »

Mais comment éviter les pièges ? Pour Thierry Skonieny, le bon sens est essentiel : « Ce n'est pas parce que la promotion est élevée que le prix est intéressant. Il ne faut pas hésiter à comparer les prix... »

Selon lui, il faut avoir la même vigilance sur le web que dans un magasin : privilégier les sites marchands ayant « pignon sur la Toile », vérifier l'identité du vendeur (« si certaines informations légales ne s'y trouvent pas, ce n'est pas bon signe ») ou encore se méfier des tarifs trop alléchants.

En cas de litige, la DGCCRF peut être saisie. Mais, comme l'explique le directeur, « lorsque l'on achète sur un site étranger, il y a peu de recours possibles. À moins que cela ne soit dans l'Union européenne, car des coopérations existent ». En France, en revanche, les enquêtes sont possibles. « Le principal, c'est de savoir à qui l'on achète. Derrière la Toile, il y a toujours un être humain... »

100 000 sites marchands, 12 000 contrôles

12 000. Si 9 500 sites ont été contrôlés, en 2011, la DGCCRF a effectué, « à peu près 12 000 contrôles, car nous retournons sur les sites plusieurs fois ».

300. En 2011, les contrôles ont donné lieu à un peu plus de 300 procès-verbaux et plus de 1 200 rappels à la réglementation.

95 %. Près de 95 % des échanges commerciaux qui se font sur Internet sont fiables, selon Thierry Skonieny, patron des cyber-enquêteurs. « Si le e-commerce se développe, les échanges sont de plus en plus sécurisés », explique-t-il.

100 000. Il existe, aujourd’hui, plus de 100 000 sites marchands.

N°1. Le premier marché du commerce en ligne sur la Toile concerne le tourisme, qui représente près de 50 % du chiffre d’affaires en ligne. Viennent ensuite habillement et accessoires, santé, hygiène et compléments alimentaires, puis informatique et multimédia.

 

 

http://www.ouest-france.fr/actu/societe_detail_-Noel.-Les-cyber-enqueteurs-sur-le-pied-de-guerre-_3636-2142222_actu.Htm

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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 15:12

 

23 octobre 2012

Le RAID a organisé du 08 au 19 octobre 2012 sur le camp militaire de Souge, à proximité de Bordeaux, un regroupement de spécialistes du tir de haute précision affectés dans les unités d'intervention européennes composantes de l’organisation ATLAS.

Cette organisation a été créée en 2001 suite aux attentats du 11 septembre. Elle est financée par l'Union Européenne et rassemble trente six unités de contre terrorisme, issues des vingt-sept états membres de l’Union Européenne, auxquels s’ajoutent la Suisse et la Norvège. 
Le fonctionnement d'ATLAS s'articule autour de groupes de travail, parmi lesquels un forum tireur de haute précision. 
 
Dans le cadre de l'activité de ces groupes il est prévu des échanges réguliers. Le RAID était chargé cette année de recevoir et d’organiser cet échange dans la perspective de la préparation d’un exercice majeur qui se déroulera en 2013. 
 
Les unités d’ATLAS auront à leur charge la gestion de crises multiples, simultanées touchant plusieurs pays de l’union européenne. 
Vingt six spécialistes de l’intervention ont répondu présent pour ce regroupement, ce qui montre l'intérêt des partenaires étrangers à participer à ce stage organisé en France par le RAID. 
Cet événement a été préparé par les policiers du RAID qui ont bénéficié de l’expertise technique du BAMT (Bureau de l’armement et des matériels techniques) afin d'offrir un programme de haute qualité sur un site de l’armée, mis à la disposition du RAID dans le cadre du partenariat et des échanges que cette unité entretient avec les militaires des forces spéciales. 

 

http://www.police-nationale.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-police/Exercice-ATLAS

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 13:29

 

40ème anniversaire du GIPN
16 octobre 2012

Lundi 15 octobre 2012, Manuel Valls, ministre de l’intérieur, s’est rendu à Lyon à l’occasion du 40ème anniversaire du groupe d’intervention de la police nationale (GIPN).

40 ans de missions à hauts risques, au service de la sécurité des Français

Revenant sur l’histoire des GIPN, Manuel Valls a relevé leur fort ancrage territorial, avec sept implantations géographiques en métropole et trois outre-mer. Depuis juillet 2009, les GIPN font partie de la force d’intervention de la police nationale (FIPN), avec le RAID et la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la préfecture de police de Paris.

Après avoir assisté à des démonstrations et présentations de leurs missions, le ministre a adressé aux membres du GIPN de Lyon toute son estime et sa profonde reconnaissance, pour l’ensemble des interventions menées avec excellence depuis 40 ans, dans les situations les plus périlleuses.

1512 missions accomplies en 2011 : " toutes des missions de confiance "

Insistant sur le haut degré de dangerosité des missions qui leur sont confiées, le ministre a salué les techniques et compétences des membres du GIPN : maîtrise, professionnalisme, sang-froid et esprit de cohésion.

Il a également rappelé le champ d’intervention des GIPN, autant de domaines variés au cœur des préoccupations et des priorités de l’action de la police nationale : 
- Interventions lors de prises d’otages, de retranchements de forcenés ou de malfaiteurs, ou de mutineries de détenus ;
- Interpellations d’individus dangereux, interventions en maintien de l’ordre dans des situations complexes, sécurisation de procès à risques.

 

 

http://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/40eme-anniversaire-des-GIPN

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:44

Les grandes dates de la Compagnie Motocycliste

Les motards de la police : en 1927 ; en 1940 ; en 1960 ; en 1984 et en 2000.

Des motards dans la police, il y en a eu très tôt. Dès 1903, une brigade des "agents chauffeurs" existe à Paris. En 1920, quatre motocyclistes équipés de side-cars "Indian" et "Harley-Davidson" constituent l’embryon de la future Compagnie Motocycliste de Paris. En 1947-1948, la Police Parisienne compte près de 200 motocyclistes. En 1949, la gestion des motocyclistes est confiée par arrêté à la Direction Générale de la Police Municipale, tous les motards intègrent alors la Compagnie Motocycliste de la rue Chanoinesse.

Depuis la mise en place de la réforme de la Préfecture de Police le 18 avril 1999, la Compagnie Motocycliste est rattachée à la Sous-Direction de la Circulation de la Direction de l'Ordre Public et de la Circulation (DOPC).

Les missions des policiers motocyclistes ont évolué. Elles consistent aujourd’hui principalement dans l’application de la réglementation routière, les patrouilles de nuit et l’escorte de personnalités.


En 1919, le conseiller municipal Mansard défend une politique d'acquisition de véhicules motorisés pour la police parisienne en rappelant les services rendus à la population pendant la guerre, grâce aux véhicules prêtés par l'armée à la Préfecture de Police. Deux ans plus tard, douze motos sont inscrites pour la première fois au budget, au chapitre "matériel automobile". Une unité de motocyclistes se met en place. Mais il faudra attendre 1928, pour que la brigade motocycliste soit réellement organisée et que l'uniforme devienne obligatoire. En 1945, elle déménage du garage du boulevard de l'Hôpital à la rue Chanoinesse.
 De nombreuses générations de motos se sont succédées dans les garages de la police parisienne : les Blériot, India et Harley Davidson utilisées dans les années 20, ont été remplacées en 1928 par la Dresch et surtout à partir de 1930, par la célèbre René Gillet qui fera une longue carrière dans la police. A noter également la Gnome et Rhone (1938), la Royal Enfield (1944), la Terrot et la Condor (1945) et la Cémec (1948). A partir de 1953, la Triumph s’impose pour près de vingt ans de service. En 1971, elle cède progressivement la place aux BMW et son dernier modèle la BMW 1100 RT.

 Source Préfecture de Police

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:43

  La Musique des Gardiens de la Paix

 

Créée en 1929, à la Préfecture de Police, la Musique des Gardiens de la Paix compte 122 musiciens, rattachés à la Direction de la Police Urbaine de Proximité.

Dirigée par un Chef d'orchestre, assisté d'un chef-adjoint, cette musique professionnelle se produit régulièrement dans toute la France et à l'étranger.

La Musique des Gardiens de la Paix donne plus d'un centaine de concerts par an, à Paris, en région parisienne et en Province.

Les membres de la Musique des Gardiens de la Paix doivent satisfaire aux épreuves de deux concours :
l'un de musicien, avec un recrutement au plus haut niveau des conservatoires nationaux,
l'autre de gardien de la paix.

Source Préfecture de Police

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:40
BEFTI 
Préfecture de police
La Brigade d'enquêtes sur les fraudes aux technologies de l'information (BEFTI)
 
La B.E.F.T.I., c’est 28 policiers, hommes et femmes, passionnés de Nouvelles Technologies.
 

Les deux-tiers des effectifs appartiennent à trois groupes d’enquêtes, qui travaillent sur instructions du Parquet, commissions rogatoires ou d’initiative (pour presque un tiers de l’activité). Les enquêtes consistent à élucider les crimes et délits informatiques :

  • intrusion dans un ordinateur ou un réseau ;
  • contrefaçon de logiciels ou de bases de données ;
  • piratage de réseau téléphonique ;
  • défiguration de sites ;
  • modification ou suppression de données ;
  • défaut de sécurisation des données personnelles, etc.

 

L’autre tiers des effectifs appartient au Centre d’Assistance du service, qui fournit une assistance technique et matérielle aux autres services enquêteurs de la Police Judiciaire (perquisitions informatiques, lectures de données, etc.), utile à l’élucidation des crimes et délits commis sur le ressort de la Préfecture de Police.

Enfin, la B.E.F.T.I. mène également des actions de sensibilisation à la cybercriminalité via des conférences, des formations ou des stages d’immersion.

 


B.E.F.T.I.
122/126, rue du Château des Rentiers
75013 Paris
Tél. : 01 55 75 26 19
fax : 01 55 75 26 13
Prefpol.DRPJ-SDAEF-BEFTI-GESTION@interieur.gouv.fr

 
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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:37

Le développement de l'Internet va de pair avec celui de la cybercriminalité.
La police judiciaire s'adapte à ce nouveau terrain.

"Sur Internet, tout est possible". Le commissaire qui dirige le SEFTI (Service d'Enquête sur les Fraudes aux Technologies de l'Information), dépendant de la Police Judiciaire parisienne, ne se fait guère d'illusion sur ce qui peut se passer sur le réseau mondial. Mais il sait aussi que les moyens ne manquent pas pour lutter contre la criminalité informatique. "Certains pensent pouvoir agir sur le réseau en toute impunité, sans se faire repérer. Mais l'anonymat n'est souvent qu'apparent. Si les différents intermédiaires techniques (fournisseurs d'accès, gestionnaires de réseaux) jouent le jeu, il est possible de remonter les filières et d'identifier les délinquants". La "cybercriminalité" est aussi vieille que l'informatique elle-même.

Premier cas : le réseau Internet n'est qu'un moyen parmi d'autres pour exercer une activité délinquante (vente de produits illicites ou contrefaits, pédophilie, proxénétisme). Le web ou les groupes de discussion permettent aux "clients" d'entrer plus facilement en contact avec leurs "fournisseurs". Sans l'Internet, ces activités se dérouleraient quand même, mais par d'autres moyens.

Deuxième cas : le réseau et les systèmes qui y sont reliés sont l'objet même du délit. Par exemple, on paralyse des ordinateurs en leur envoyant un trop grand nombre de messages auxquels ils se trouvent incapables de répondre. C'est ce qui s'est produit aux États-Unis en février dernier. On appelle cela le mail bombing. Il peut être pratiqué par simple "jeu", ou dans le but d'exercer un chantage.

 Autre exemple : on s'introduit frauduleusement dans des systèmes informatiques en violant leurs protections. Une fois dans la place, tout est possible : modification ou destruction de fichiers, introduction de virus qui perturbent les programmes, prise en main de systèmes plus ou moins stratégiques, cela s'appelle le hacking. "Les bons pirates sont rares", estime le commissaire. "La plupart sont des opportunistes qui profitent des carences des systèmes en matière de sécurité". D'où l'intérêt de se protéger. "Changer son mot de passe, faire des sauvegardes régulièrement ne prend pas beaucoup de temps. Il faut seulement y penser." Cela dit, les cyberdélinquants ne sont pas tous des amateurs". La criminalité organisée commence à s'intéresser au réseau, notamment pour y faire du blanchiment d'argent, du chantage et des trafics divers.
Pour lutter contre cette criminalité, il est impératif que les différents pays concernés coopèrent, et que des règles minimales régissent le réseau, notamment les intermédiaires techniques."

Un service unique

Le SEFTI, créé en 1994, est le plus important service de police français exclusivement chargé de lutter contre la criminalité informatique. Dirigé par un commissaire, il compte 9 officiers, 11 gardiens de la paix et une secrétaire.

En patrouille sur le réseau

C'est le seul service où l'on peut patrouiller sans quitter son bureau. Les policiers du groupe Initiative du SEFTI cherchent en quelques clics, avec un micro-ordinateur et une ligne téléphonique. L'essentiel de leurs affaires concernent la contrefaçon de logiciels ou de matériels. En moins de cinq minutes, il est possible de dénicher un internaute suspect. Les forums de discussion, en particulier ceux consacrés à l'informatique et aux jeux, fourmillent d'annonces plus ou moins suspectes du style : "vends et échange logiciels et jeux vidéo. "Comme dans les affaires de stupéfiants, l'intérêt est de remonter la filière", explique le capitaine, chef du groupe. "Les vendeurs de logiciels piratés sont souvent des "détaillants". En amont, le logiciel a du être "déplombé" et copié une première fois par un "grossiste". C'est lui que nous visons, même si nous nous intéressons aussi aux "petits".

 

Dans un premier temps, il faut identifier l'émetteur de la petite annonce. Cela nécessite généralement le concours du fournisseur d'accès et/ou de la société de télécommunication auprès de laquelle l'émetteur est abonné.
Ensuite, il est possible de mettre en place une surveillance chez le suspect. On peut alors voir s'il a des clients, leur nombre et leur importance, et éventuellement faire un flagrant délit. "Dès qu'il y a commerce, il y a de la marchandise, de l'argent et des personnes. Tout cela laisse des traces", observe le capitaine.
La majorité de ces cyberdélinquants sont des "primaires" : jeunes pour la plupart, souvent étudiants, ils ont trouvé ainsi un moyen de financer leur passion à bon compte. Mais en bout de course, l'opération peut coûter cher : la contrefaçon est passible de 2 ans d'emprisonnement et d'une amende allant jusqu'à 1 million de francs (152449.02 €), sans compter les dommages et intérêts demandés par les sociétés piratées.

La Brigade de Protection des Mineurs (BPM) dispose également depuis deux ans d'une cellule de veille sur Internet. Dans son cas, il s'agit principalement de tenter de rechercher les auteurs d'actes de pédophilie et de démanteler les réseaux susceptibles d'exister. "De nombreuses photos pornographiques mettant en scène des mineurs, parfois âgés de moins de 10 ans, sont diffusées sur Internet", explique le commissaire, chef de section à la BPM. "Notre travail consiste alors non seulement à identifier ces sites et les diffuseurs, mais aussi les victimes, ceux qui ont réalisé les photos, leurs complices et les lieux où ils ont opéré. C'est un travail complexe car la plupart de ces sites sont hébergés à l'étranger. Les photos sont dupliquées à l'infini, et il est souvent difficile de remonter les filières jusqu'aux véritables responsables."

En 1999, le SEFTI a traité plus de 600 affaires, dont une centaine avaient trait à l'Internet, soit comme objet, soit comme vecteur du délit. La cellule de veille sur Internet de la BPM a quant à elle traité 74 dossiers liés au réseau durant la même période.

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:32

La police technique et scientifique

Pour résoudre les enquêtes, les différentes services de la Direction Régionale de la Police Judiciaire et de la Direction de la Police Urbaine de Proximité exerçant des missions de police judiciaire s'appuient sur la police technique et scientifique.

Grâce aux innovations techniques qu'il utilise, le service de l'Identité Judiciaire de la Préfecture de Police établit les portraits-robots les plus fidèles possibles des suspects. Sur les lieux des crimes, ses techniciens prélèvent des traces et indices tels que les empreintes digitales. Ces dernières sont comparées à toutes les empreintes de personnes mises en cause qui ont été rassemblées dans un grand fichier informatique national appelé le fichier automatisé des empreintes digitales (FAED).

La police scientifique, qui relève de trois laboratoires de la Préfecture de Police (le Laboratoire de police scientifique, le Laboratoire Central, et le Laboratoire de toxicologie) analyse les indices trouvés et en recherche d'autres en faisant appel aux méthodes les plus modernes : analyses biologiques, recherches en contrefaçons, examens physico-chimiques, ...

Source Préfecture de Police

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:18

Les Divisions de Police Judiciaire
de la Direction Régionale de la Police Judiciaire


Les divisions de police judiciaire, services territoriaux de la Direction Régionale de la Police Judiciaire, ont une compétence générale sur un secteur déterminé. Ils sont le complément indispensable des services centraux spécialisés de cette Direction à l'échelon local et contribuent, par la connaissance de leur zone géographique, à l'équilibre et à l'efficacité de la police judiciaire.

Trois divisions de police judiciaire, qui regroupent plusieurs arrondissements parisiens, sont chargées des missions suivantes :

  • lutte contre la criminalité
  • lutte contre la délinquance organisée ou spécialisée

Les affaires locales de petite délinquance (cambriolages ordinaires...) sont quant à elles traitées dans chaque arrondissement par le commissariat central de la Direction de la Police Urbaine de Proximité.

Les trois divisions de police judiciaire ont été instituées par la réforme des services actifs de la Préfecture de Police, entrée en vigueur le 18 avril 1999 :

  1ère Division : 1er, 2ème, 3ème, 4ème, 8ème, 9ème, 16ème, 17ème arrondissements
  2ème Division : 10ème, 11ème, 12ème, 18ème, 19ème, 20ème arrondissements
 3ème Division : 5ème, 6ème, 7ème, 13ème, 14ème, 15ème arrondissements

 

Cette carte permet de visualiser la répartition territoriale fondée sur des critères d'équilibre géographique et opérationnel.

Au niveau central, plusieurs services de la Direction Régionale de la Police Judicaire peuvent recevoir du public :

  • certaines brigades spécialisées
  • la Sous-Direction des Affaires Economiques et Financières

 

Source Préfecture de Police

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 17:07
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Présentation

  • : Néo IGS Police -Ma vie détruite par la POLICE des Polices ( IGS )ou tristesse perpétuelle
  • : Ma vie, de ma naissance à ce jour, qui n'avait pas si mal débutée, puis arrêtée totalement moralement suite à une bavure de la Police des Polices, Pas de vie, ni femme ni enfant.
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  • Ce jour arrivant à  la soixantaine, j'avais un idéal de vie, débutant comme secouriste, puis Pompier de Paris, Policier à 20ans, poursuivant mes études pour ma carrière, puis....
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