Fort de Rosny sous BoisPhilippe ne reprendra le travail au fort de Rosny sous bois qu’au mois de septembre 2009, après avoir déménagé le centre de formation du Mans, rendu et nettoyé les anciens locaux et d’avoir faits de multiples déplacements pour se faire. Philippe retrouve les mêmes fonctions au bureau pédagogie du centre ainsi qu’un rôle de formateur SSI. Il se retrouve avec un GAV dans son bureau. Chacun s’installe comme il le peut, avec les moyens qui leur sont donnés.  Philippe aménage son nouveau bureau de façon fonctionnelle, en particulier pour un petit meuble qui sert à la décharge des matériels et des documentations que les personnels du centre ramènent à Philippe régulièrement dans son bureau. Le  » lieutenant-colonel petit coq  » reprochera très rapidement à Philippe le positionnement de ce meuble car selon lui, ce meuble le masque et on ne le voit guère ( ?)  Il donnera l’ordre à Philippe de remédier à cela ; Philippe trouve cette remarque tellement ridicule qu’il ne l’exécutera pas, car d’une chose, c’est son bureau, Il en décide lui-même quant au bon usage fonctionnel de son mobilier, pour que les gens puissent facilement déposer les documentions ou toutes autres objets.

 

Il reprochera également à Philippe, lorsqu’il arrive le matin, qu’il ne dit pas toujours bonjour à ses collègues (!), qu’il va directement dans son bureau … Il est utile de préciser que Philippe, venant en vélo le matin et rentrant ainsi le soir, arrive souvent 20 à 30 mn avant tout le monde car il le dit souvent, il lui faut  » sécher  » car la côte de Nogent en vélo le matin, c’est raide à monter et  cela donne chaud. Philippe ne prenant pas de café, ne se rend donc pas dans la pièce aménagée à cet effet. Il préfère faire le tour des bureaux, au fur et à mesure que le début de matinée se passe. Dire bonjour de cette façon est beaucoup plus personnalisée et surtout plus humaine, non ? Il y a même beaucoup plus de contacts et d’échanges verbaux que de procéder de façon classique, en tendant la main et à la volée, en disant de façon pressée : bonjour, bonjour, bonjour, ça va ? Cette réflexion du  » lieutenant-colonel petit coq  » était vraiment ridicule à ses yeux.

Plusieurs mois après que le centre de formation SIC ait été ré-aménagé au Fort de Rosny sous bois et que les formations aient repris, lors d’une réunion rassemblant tous les personnels, le  » lieutenant-colonel petit coq  » remis alors à l’ensemble des sous – officiers ayant participé au déménagement du centre de formation, entre le Mans et Rosny sous bois, une lettre de félicitations pour le travail accompli et d’avoir ainsi contribué à cette opération rondement menée.

Tous les personnels ? Non. Un seul sera exclu pour ce titre honorifique et glorieux : Philippe.

Visiblement, il ne le méritait pas et d’ailleurs, à la fin de cet exercice de style, le  » lieutenant-colonel petit coq  » regarda Philippe avec un certain sourire qui en disait suffisamment long pour que Philippe comprenne la position de cet officier à son encontre.

Technique de management ? Harcèlement moral sournois ? Je pencherais plutôt pour cette deuxième option.

Il n’en reste pas moins que Philippe subira une certaine situation, écarté de sa famille, dans un lieu de travail où il n’a pas sa place. Il ne se restaurera pratiquement jamais le midi, faute de pouvoir manger au Mess, ce qui le rend irrémédiablement malade. Il ne mangera que le soir, dans son logement de fonction insalubre qu’avec la nourriture que je lui préparais chaque dimanche avant qu’il ne reparte en train pour la semaine, avec sa grosse valise chargée à bloc.

Cette situation durera une année et sera un calvaire pour lui mais aussi pour moi et ma fille ;  nous subiront également et de plein fouet, la dépréciation de la vie professionnelle de Philippe.

J’ai développé depuis cette période un Psoriasis fulgurantqui à ce jour, n’est toujours pas résorbé, de part les situations de stress que l’employeur de mon mari nous afflige.

Ma fille également a été profondément marquée par ce qui est survenu à son père et à notre vie de famille, qui n’en est plus une en terme de normalité.

Philippe et moi – même essayons pourtant et à tout prix, de la protéger de tout cela.


outre-mer1.pngEn octobre 2009, Philippe, au centre de formation SIC de Rosny sous bois, s’aperçoit qu’il est en mesure de pouvoir faire une demande d’affectation outre – mer, dans le cadre des appels à volontaires qui se font annuellement. Il effectue alors sa demande et passe de fait, une visite médicale auprès de la médecin adjointe, au centre médical du fort de Rosny. Cette dernière, lors de cette visite s’exclame devant Philippe tout en consultant son dossier médical :

Mais vous avez fait un épisode dépressif, non ?

Philippe rétorque qu’après avoir déposé plainte en mai 2009 et après avoir subi des dépréciations professionnelles consécutives à une mise à l’index de la part de l’employeur mais aussi pour avoir appris qu’il serait muté en région parisienne alors que sa fille présentait une pathologie à contre-indication, Oui il ne s’est pas senti véritablement bien. Quand on subit ce genre de choses, par des faits complètement illégitimes, on ne peut que se sentir mal.

Cette médecin militaire, devant Philippe, prend son téléphone et appelle le  » lieutenant-colonel petit coq  » dans son bureau :

 » Allo L , c’est CC au CMP. Dis, j’ai ton gendarme dans mon bureau. Il ne pourra pas faire sa demande outre – mer car il a fait un syndrome dépressif quand il était au Mans  ».

Pour ma part, j’ai travaillé pendant plus de 20 années dans le milieu médical et c’est un milieu que je connais extrêmement bien, surtout que mon ancien patron était un ancien médecin colonel des armées qui avait fait l’indochine.

Le secret professionnel existe. Si Si ! Cette médecin, réputée très acoquinée avec le  » lieutenant-colonel petit coq  » a donc commis une faute professionnelle.

NDLR : Rappelons encore que le  » lieutenant-colonel petit coq  » est administrateur de la mutuelle de santé militaire pour la Gendarmerie  » UNICO  » ; son épouse est également pharmacienne. Voilà donc un couple à même de pouvoir interpréter, en bonne intelligence, toutes données liées au domaine médical.

Il est utile également de savoir que le  » lieutenant-colonel petit coq  » avait déjà tenté à l’école de Gendarmerie du Mans et ce auprès du Centre Médical Principal, d’essayerde soutirer des renseignements à caractères médicaux confidentiels, ce auprès des médecins de cette entité et qui concernaient déjà mon mari Philippe ainsi que pour l’adjudant chef G !

Il ne va pas sans dire que la demande outre – mer de Philippe ne sera jamais transmise officiellement et que par ce critère médical dévoilé, elle sera reléguée aux oubliettes par le         » lieutenant-colonel petit coq  », ne manquant pas alors d’en faire état à Philippe en lui affichant un réel satisfecit.

Philippe apprend par des amis restés dans le département du Lot que les individus cités dans sa plainte ont reçu de la part de la hiérarchie dirigeante du Groupement de Gendarmerie du Lot, des primes aux mérite de 500 euros et qu’ils vont bénéficier prochainement d’un passage au grade supérieur. L’adjudant J-M.P, pour avoir commis des violences sur Philippe mais qui est aussi un auteur mufti-récidiviste en la matière, sur le gendarme E.G de Cahors mais aussi pour d’autres faits s’étant passés sur le secteur de PAU, reçoit donc une prime pour son comportement exemplaire et méritant ( ! ) 

Rappelons aussi que l’adjudant J-M.P a pratiqué des escroqueries similaires à celles usitées par le colonel J-P.Rcar lui aussi, s’est fait refaire une moto BMW K75, aux frais de la princesse et du contribuable dans les locaux du service auto de Cahors …

Le lieutenant L.E, pour avoir commis des malversations et d’être un individu plus que douteux dans son comportement bénéficie lui aussi d’une prime au mérite ( ! ) 

Nous noterons au passage que son oncle est Général de Gendarmerie …

NDLR : les primes au mérite sont accordés généralement aux gendarmes de terrain, qui de part la qualité de leur travail fournit, par exemple pour des enquêtes rondement menées ou pour des actes individuels remarquables, méritent alors d’être ainsi félicités et encouragés par la hiérarchie, par délégation et au nom du Ministre. Il ne va pas sans dire que l’attribution de ces deux primes au mérite, actée par la volonté de la hiérarchie dirigeante de Cahors , a été voulu pour faire de ces deux individus, de parfaits gendarmes irréprochables. Derrière cet illustre maquillage, ce n’est ni plus ni moins qu’un affront fait aux réels gendarmes méritants de ce département, qui a été commis.


Plat mitonné : le boeuf-carottesLe 20 novembre 2009, Philippe est entendu dans les locaux de l’inspection technique de la Gendarmerie, à Arcueil.  Nous nommerons ce service :

 » les Boeufs – Carottes  ». Deux enquêteurs sont là pour entendre la déposition de mon mari. L’un écoute et ne se limitera qu’à cela. L’autre, un jeune lieutenant nommé N.D, prendra l’audition sur un ordinateur portable : les quelques renseignements standards demandés quant au nom, matricule et carrière de l’intéresse prennent quelques minutes quand subitement celui -ci décrète : Vous avez énervé le directeur de la Gendarmerie, par vos écrits ( ? )

- Ah bon, réplique Philippe : je ne vois pas ce que j’ai fait de mal. Je me suis fait agressé sur mon lieu de travail,  j’ai été témoin de malversations commises par des gendarmes.

- Où est le mal dans tout cela demandera t-il ? …

- D’ailleurs, tenez. Je vous ai préparé 11 feuillets, retraçant la genèse très détaillée et chronologique de ce qu’il m’est survenu dans ce poste à Cahors.

L’enquêteur prendra les feuillets, en fera des photocopies pour son collègue.

Ils liront ensuite le contenu et seront visiblement gênés quant au passage concernant les escroqueries pratiqués par ce colonel, commandant un Groupement de Gendarmerie départementale, entre autres.

Aucune précision quant à la façon dont sera établie l’enquête judiciaire sur Cahors ne sera donnée à Philippe.

Il est utile de préciser à nouveau que l’enquête initiale demandée par la saisine de l’inspection technique de la Gendarmerie a été supplantée par la plainte au judiciaire que Philippe a déposé conjointement en juin 2009, à la Brigade de Gendarmerie de Le Mans – Cavaignac.

Le circuit de cette plainte est donc passée par le Procureur de la République du parquet de Cahors, chargé aux affaires militaires, comme en tout lieu. C’est donc ce procureur qui en examinant la plainte de Philippe a décidé, comme il est convenant de le faire à chaque fois que des affaires judiciaires touchent la Gendarmerie, de faire établir ces enquêtes par des gendarmes enquêteurs sur des gendarmes auteurs ( présumés ! )

Il en va bien sûr d’une parfaite impartialité quant à ce que ces enquêteurs pourraient découvrir, dans des enquêtes définitivement internes.

NDLR : précisons toutefois que ce procureur de la République chargé aux affaires militaires est fils de gendarme. Nous le dénommerons désormais le  »Procureur E.S  »

Cet entretien dans les locaux   » des Boeufs – Carottes  » durera presque 3 heures.

Philippe signera sa déposition qui je le rappelle a été faite sur l’honneur et soulignons le encore, d’ un gendarme assermenté auprès d’un tribunal, comme tout gendarme le fait à la sortie de son école de Gendarmerie.

Durant le mois de décembre 2009, après que Philippe ait manipulé un nombre impressionnant de cartons contenant les documentations du centre de formation et ré – aménagé une bonne partie de la bibliothèque du centre, il contracte un lumbago après avoir fait ses trajets en vélo pour aller travailler et pour avoir fait aussi un voyage retour Le Mans – Rosny sous bois, avec une valise excessivement lourde. Il est obligé d’aller consulter un médecin à Nogent sur Marne qui l’arrêtera pour une semaine. Philippe sera contraint de rester bloqué au lit, seul toute la semaine durant, à se soigner.

A son retour au travail, la semaine qui s’ensuivit, le  » lieutenant-colonel petit coq  » convoqua Philippe dans son bureau et lui exprima son mécontentement quant au fait que Philippe ait été arrêté. Qu’il avait normalement cette semaine là, des cours SSI à prodiguer et qu’il avait fait exprès d’être malade ( ! / ? ) Philippe se demanda à quoi et comment fonctionnait cet officier quant à pouvoir formuler de telles aberrations.

Lors du transmis de la fiche bilan personnel pour l’année 2009 qui s’était écoulée, Philippe évoquera sur ce document officiel sa plainte formulée au judiciaire à l’encontre de sous – officiers et d’officiers supérieurs de Gendarmerie, auteurs de malversations, de faits d’escroqueries et de violences.

Il évoquera aussi la gestion RH qui lui a été appliqué en utilisant les termes suivants :

- j’ai été traité  » pire que pourrait l’être un chien galeux  »  mais aussi :

 » il m’apparaît que cette  » gestion RH Gendarmerie  » ne vaut pas mieux que celle qui affectent certains personnels de France Telecom ;  il arrive forcément un moment où les choses cassent et doivent cesser …  ».

Cette fiche bilan aurait dû être normalement consignée dans le dossier personnel sous – officier de mon mari. Il s’avèrera par la suite que le  » lieutenant-colonel petit coq  » l’ai subrepticement soustraite  car était également mentionné sur ce document, qu’une plainte avait été déposée à la CNIL en décembre 2009  pour les mentions médicales figurant sur les notations de Philippe ainsi que pour un dossier de plainte déposé à la HALDE, à la même époque.

Conjointement, en janvier 2010, Philippe adresse un courrier explicatif portant sur sa situation de militaire de la Gendarmerie et de sa famille, situation professionnelle et familiale qui ne peut plus durer comme telle. Ce courrier sera adressé au Directeur du Personnel Militaire de laGendarmerie Nationale ( DRH ) ainsi qu’au Général  » PEPO  », commandant la Sous Direction TélécommunicationsInformatique du fort de Rosny sous Bois. Philippe en rend compte à son chef de bureau ainsi qu’au  » lieutenant-colonel petit coq  ».

Le 04 février 2010 , Philippe adresse une lettre A/R au Procureur E.Schargé des affaires militaires au Tribunal de Cahors. Il demande alors à ce magistrat l’état d’avancement de sa plainte ( PV N°01126/2009 BTP Le Mans – Cavaignac du 11/06/2009 ).

Sur sa lettre, figurera les remarques suivantes :

 » … j’ai fourni aux deux enquêteurs ( lieutenants N.D et O.B ) un document récapitulatif des faits et des situations auxquels j’ai été confronté durant mon séjour à Cahors.

Je me permet de préciser que j’ai bien senti pendant cette audition que les faits relatés dans mon affaire était de nature dérangeante pour la Gendarmerie. A ce jour aussi, ma hiérarchie immédiate ( NDLR :  » lieutenant-colonel petit coq  » ) me le reproche sans égards. Malheureusement pour moi, je n’ai pas demandé à être malade ni a avoir été agressé dans l’exercice de mon travail.

C’est donc pour cette raison que je vous envoie aussi, joint à ce courrier, la copie de ce document car je ne souhaite pas évidemment voir occulter certains aspects de cette affaire.

Il y a déjà eu des précédents dans une autre affaire s’étant passée à l’école de Gendarmerie de CHATEAULIN ( 29 ) et dont les faits ont été occultés volontairement par la Gendarmerie pendant plus de cinq années …  ».

Philippe n’ayant aucune confiance dans le traitement de son affaire, a voulu s’assurer que ce magistrat ait bien l’intégralité des documents qu’il a transmis à l’inspection technique.

Ce document de 11 feuillets mentionne bien évidemment les noms, grades et fonctions des auteurs de son affaire et trace également les évènements délictueux commis, de façon rigoureuse et chronologique.

Pourquoi Philippe n’a pas confiance ? Tout simplement parce qu’il est au fait de l’affaire du parrain de coeur de notre fille, l’adjudant Eric D, qui a osé dénoncer en 2005 des fautes graves, des infractions , des délits et des crimes perpétrés au sein même de sa formation. Eric D se bat depuis des années contre cette direction de la Gendarmerie, aux abois, qui ne sait plus quoi faire pour tenter d’enrayer l’inéluctable divulgation publique de ces scandales. Cela en explique la politique d’acharnement et de destruction des familles de ces militaires qui osent braver l’interdit, en effectuant des plaintes à l’encontre de gendarmes auteurs et surtout extrêmement protégés par la haute hiérarchie.

Mais qu’a pu donc faire le Procureur E.S de Cahors, chargé aux affaires militaires en recevant un tel courrier, d’un adjudant de Gendarmerie, illustre inconnu ?

Dans le même sens que ce qui s’ est passé au parquet de RENNES et de son Procureur chargé lui aussi aux affaires militaires, qui devrait détenir des dossiers d’enquêtes accablants ( 2 années ) pour l’affaire de l’école de Gendarmerie de CHATEAULIN. Pour toutes les dépositions, pour toutes les plaintes déposées même à l’encontre de M.A.M, le tampon « Classé sans suites » pour Châteaulin a été très vite apposé comme pour Cahors.

Le 12 Février 2010, le procureur E.S avise Philippe que l’enquête qui le concerne est toujours en cours …

NDLR : Philippe, en bon radio – transmetteur, a de très bonnes antennes au Groupement de Gendarmerie du Lot à Cahors. Aucune enquête n’y a été relevée à cette date.

Pour rappel, sa saisine initiale date du mois de mai 2009.

En avril 2010, le  » lieutenant-colonel petit coq  » informe Philippe qu’ il peut établir une fiche de voeux pour demander à partir. Philippe passe donc une visite médicale d’aptitude au service avec le médecin – chef du centre médical de Rosny sous bois, lequel est le chef hiérarchique de la médecin – adjointe, bonne connaissance du  » lieutenant-colonel petit coq  ».

Ce certificat mentionne l’aptitude au service, l’inaptitude aux tests CCPM ( Philippe a été opéré du ménisque – il a 50 % de cartilage en moins sur ce genou opéré et ne peut plus se permettre de courir n’importe comment, ce qui ne l’empêche pas de faire 13 Km de vélo par jour pour aller travailler et ainsi de pouvoir s’entretenir physiquement ).

Est mentionné une inaptitude aux travaux en hauteur ( problème des vertèbres cervicales ).

Philippe obtiendra un entretien avec le Général  » PEPO  » de la Sous – Direction Télécommunications & Informatique. Ce dernier précisera à Philippe que l’inaptitude aux travaux en hauteur n’est pas un critère de non affectation pour les postes SSIC ou SSI car si l’on devait en tenir compte aujourd’hui, il faudrait enlever plus d’une centaine de techniciens des effectifs de la spécialité SIC ; ce qui n’est pas envisageable selon lui, aux vues des charges de travail qui vont en s’accentuant, en regard du déploiement de l’outil informatique au profit des gendarmes des unités élémentaires.

Le Général  » PEPO  » précise alors à Philippe qu’il peut établir sa demande sans craintes et qu’il l’appuiera, étant le grand chef de cette filière technique .

NDLR : le Général  » PEPO  » a reçu par Philippe et ce préalablement à l’entretien, le dossier explicatif portant sur les litiges qu’à mon mari avec l’institution. Le général PEPO a donc vu le nom de J-M.P, qui ne lui était certainement pas étranger puisqu’il a du l’avoir sous ses ordres à la Région de Gendarmerie d’ Aquitaine alors qu’il la commandait, en l’époque.

Philippe rend compte à son chef hiérarchique le  » lieutenant-colonel petit coq  » qu’il a l’aval du Général  » PEPO  » pour finaliser sa demande. Le  » lieutenant-colonel petit coq  » demande à Philippe de faire sa demande sur le serveur AGORA et d’éditer sa demande sous forme papier pour qu’il puisse en assurer le transmis.

Le 19 mai 2010, le  » lieutenant-colonel petit coq  » convoque Philippe dans son bureau.

Il a fait venir aussi le chef de bureau de Philippe, le capitaine G.

Le  » lieutenant-colonel petit coq  » signifie à Philippe qu’il vient de recevoir un courrier du Directeur RH de la Gendarmerie ( DPMGN ) et que ce dernier lui interdit d’être affecté dans les postes de la technicité SSIC / BSIC – SSI, aux vues de son inaptitude aux travaux en hauteur et au port de charges lourdes .

NDLR : d’une, Philippe n’a pas d’inaptitude au port de charges lourdes mentionnée sur le certificat médical qui a été adjoint à sa demande de mutation ( ! )  et de deux, cela contredit également et entièrement ce qu’affirmait néanmoins le tenancier de la filière SIC, le Général  » PEPO  ».

D’autre part, notons que ce Général, Directeur RH de la Gendarmerie que nous dénommerons maintenant  » Général PONPON  » entretient de bonnes et fortes relations avec le  » lieutenant-colonel petit coq  » ; nous pourrons ainsi dire qu’il est son grand parrain protecteur …

Pour parfaire le tout, le  » lieutenant-colonel petit coq  » informe Philippe qu’il a établi un transmis défavorable dès le moment où il a fait sa demande alors qu’il lui avait stipulé expressément de l’établir ( ! ).

Ce donné, bien évidemment sur un ton et par une attitudeoù le satisfecit d’avoir à promulguer ce genre de nouvelles et de pouvoir ainsi en mesurer les effets dévastateurs sur sa victime, par effets instantanés.

NDLR : cet exercice de style pratiqué dans les règles de l’art par le  » lieutenant-colonel petit coq  » est totalement assimilable à du harcèlement moral, à caractère aggravant.

Dans un même temps, Philippe apprend que des enquêtes ont commencé à Cahors.

Les services de l’inspection technique sont là mais visiblement, ne s ’occupe pas pour l’heure de son affaire.

Ils commencent donc par s’occuper d’une affaire d’un adjudant de Gendarmerie qui a commis des violences sur son épouse. Plainte a donc été déposée par elle. Les propres collègues de cet adjudant seront donc entendus, dans le cadre de l’instruction de cette affaire que nous dénommerons désormais comme  » l’affaire du clos du COLOMBIER  ».

Viendra ensuite une seconde affaire d’un Gendarme revenant de Guyane Française, auteur de détournements et de trafics portant sur l’ orpaillage illégal.

En dernier lieu, les enquêteurs de l’inspection technique commenceront à instruire l’affaire de Philippe. En pareil cas et préalablement, ils ont déjà rencontré le Procureur de la République E.S pour les deux premières affaires citées.

Ils y sont venus d’ailleurs à plusieurs reprises et ont rencontré bien entendu la hiérarchie dirigeante de la caserne AMBERT.

Les personnels travaillant sur la caserne AMBERT de Cahors ( Groupement de Gendarmerie – Compagnie de Gendarmerie – Brigade de recherches judiciaires – Brigade et peloton Motorisé ) verront l’individu  » J-M.P  » venir dans leurs bureaux, évoquer une plainte faite à son encontre par l’adjudant Philippe L, ancien technicien SIC de Cahors.

Il se montrera même menaçant à l’encontre de certains personnels pour que ceux-ci ne parlent pas trop …

NDLR : Une saisine de l’inspection technique de la Gendarmerie est soumise à l’égide de son directeur et de fait, est sensée en assurer au militaire requérant, un gage de totale impartialité. Depuis plusieurs années, la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale s’est doté d’unservice juridique, composé pour la moitié de son effectif, de juristes civils et pour l’autre moitié des effectifs, d’officiers de police judiciaire spécialisés dans les domaines du droit. Leur présence y a été justifié par son directeur pour défendre les valeurs et l’image de marque de l’institution, quand elles peuvent être mises à mal lors d’affaires pouvant être retentissantes, ce dès le moment où il y a une forte médiatisation et de possibles condamnations en justice, de gendarmes.

Également, le directeur n’a pas caché à ses gendarmes, ce par un effet d’annonce sur le site INTRANET GENDCOM, que la D.G.G.N s’était dotée et pourvue des services d’avocats de grande renommée  pour y défendre les valeurs de cette vénérable institution si le besoin s’en faisait sentir sur le grill, ce bien sûr au nom de la sainte déontologie.

La volonté non anodine de la direction de la Gendarmerie et de son service juridique attitré a été ni plus ni moins de faire instruire en dernier ressort cette enquête impactant directement mon mari Philippe, pour que les faits reprochés et pouvant ainsi tomber sous le coup de la loi, soient considérés par le magistrat ordonnant l’instruction, comme prescrits ( période de 3 années ) et je puis vous assurer qu’il en a bien été ainsi, du moins pour l’instant et concernant ce strict aspect.

En juin 2010, il est demandé aux personnels du centre de formation SIC de refaire leurs photographies d’identité en tenue, ce pour les intégrer en raisons de modifications sur le serveur AGORA.

Philippe refait donc sa photo. Il la retouche de façon à la rendre compatible avec ce qui leur est demandé. Juste avant de l’enregistrer et de l’envoyer sur le serveur, il fait une mauvaise manipulation et enregistre sa photographie, la tête en bas  mais ne s’en aperçoit pas.

A la mi – juin 2010, Philippe dépose un dossier de plainte à la H.A.L.D.E pour discrimination professionnelle aggravante, à l’encontre de l’employeur GENDARMERIE NATIONALE.

Il s’avèrera par la suite que son dossier fut fermé car égaré( ! )

Dans un même temps, Philippe sera entendu au Tribunal de Créteil ( service de la SAJIR ) où il déposera le dossier complet de son litige professionnel mais aussi celui de l’adjudant Eric D, ce concernant l’affaire de CHATEAULIN. Le responsable Mr. M, ancien gendarme, fera acheminer ces pièces directement au MIOMCTIalors placé sous l’égide de Monsieur le Ministre Brice HORTEFEUXCes dossiers ne seront jamais pris en compte, ni étudiés, ni traités.

Philippe n’a jamais dissimulé quoique ce soit à sa hiérarchie. En bon militaire et à chaque fois qu’il a eu des rendez – vous pris avec la HALDE ou la SAJIR au TGI de Créteil, il a effectué ses comptes – rendus au   » lieutenant-colonel petit coq  » et pris ses jours de congé en conséquences.

Le 28 juin 2010, le  » lieutenant-colonel petit coq  »  fait signifié par le capitaine F.G, chef de bureau de Philippe,sa notation pour l’année 2010.

En première lecture, Philippe n’est pas d’accord avec ce qui est écrit et il mentionnera donc :  » fera l’objet d’une demande de révision voire une déclaration complémentaire …  »

Le 29 juin 2010, Philippe envoie un courrier électronique depuis son poste de travail, ce adressé au Procureur de la République E.S du tribunal de Cahors ainsi qu’aux deux lieutenants enquêteurs N.D et O.B de l’inspection technique (Boeufs – carottes ) chargés de son affaire.

Il précise dans ce courrier électronique que des gendarmes étant cités à témoigner pour son affaire n’ont toujours pas été entendu ainsi que des personnes civiles citées également.

Il précise à nouveau pour faire rappel aux enquêteurs et au Procureur E.S :

 » je tiens à faire mention aux enquêteurs Gendarmerie que le parrain de coeur de ma fille est l’adjudant Eric D, affecté au SSIC de Quimper. C’est ce sous-officier qui, en tant que PSO de l’école de Gendarmerie de CHATEAULIN  a osé dénoncer en 2005 des faits, des infractions, des fautes, des délits et des crimes qui se produits dans cette école  »

Connaissant bien cette affaire pour avoir rencontré certaines de ces victimes, j’affirme que pour avoir osé braver l’interdit, c’est à dire oser dénoncer de hauts gradés pour ce qu’ils ont perpétré à la vue et au su de tous, il a été dans un premier temps écarté de sa famille par une affectation dans une unité opérationnelle alors qu’il avait été déclaré scandaleusement et stratégiquement comme une personne très dangereuse.

Dans un deuxième temps, sa carrière a été également torpillée par la Direction de la Gendarmerie pour le faire taire ou le pousser au pire ( geste auto – agressif ) comme cela se produit bien souvent. Pas loin de 5 années se sont passées pour qu’aujourd’hui, sauf erreur de ma part, un revirement de situation apparaisse dans cette affaire et fasse qu’elle soit ré ouverte ( le temps de rassembler les pièces manquantes dirons – nous !  ) …

Philippe lance volontairement un  » Pique  » aux enquêteurs mais aussi au Procureur E.S car il sait maintenant comment et pourquoi le Parquet de Rennes s’est aperçu de la disparition des dossiers d’enquêtes.

NDLR : les protagonistes de cette affaire de l’école de CHATEAULIN sont les mêmes qui ont commis le même genre de méfaits dans l’ancienne école de Gendarmerie d’ AUXERRE, pour les 3 années d’ avant sa fermeture.

Dans la matinée, Philippe aura une conversation téléphonique avec un personnel qu’il connaît de longue date et qui travaille au sein même du bureau des cabinets, à la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale, rue Saint Didier à Paris.

Ce haut gradé expliquera à Philippe la subtilité des processus employés par la Direction de la Gendarmerie et des traitements affligés en pareils cas aux gendarmes sous – officiers devenus des éléments gênants, appelés aussi  »bêtes noires du Directeur  ».

Ce processus répertorié à la Direction de la Gendarmerie est appelé  » BROYEUSE  » par les officiers y travaillant.

Le même jour, le  » lieutenant-colonel petit coq  », chef hiérarchique de Philippe contacte sa bonne connaissance, la médecin adjointe C.C, pour l’aviser qu’il établit un rapport sur le comportement d’un militaire sous ses ordres, en l’espèce l’adjudant Philippe L.

Il l’informe que ce dernier à un comportement dépressif depuis sa mutation du Mans.

Cette médecin mentionnera sur la partie recueil chronologique du dossier médical de mon mari :  » Rapport fait par son chef  ».

Philippe sera contacté sur son poste téléphonique de bureau par cette médecin.

Elle l’informera donc  qu’il a un comportement dépressif ( ! ) et lui propose de fait un entretien ( ! )

Philippe qui est assis sur sa chaise ne peut donc pas  »tomber plus bas que terre  » apprend cette nouvelle qui le concerne et qui lui semble être d’une irréalité des plus surprenantes.

Il avise cette médecin que pour lui, cela va correctement et qu’il n’est pas malade et encore moins souffreteux.

Il informera cette médecin en quelques mots, des graves litiges qui perdurent avec le  » lieutenant-colonel petit coq  »et que d’ici peu, ils devront cesser d’une façon ou d’une autre. Il confirme donc au médecin C.C qu’il n’a nul besoin de consulter un médecin civil et encore moins un médecin militaire. La conversation s’en arrête là.

NDLR : Philippe, par la suite, a effectué moult copies de dossiers le concernant, en particulier pour son dossier médical. Il a demandé à avoir sous les yeux ce fameux rapport établi par le  » lieutenant-colonel petit coq  » et ne l’a bien évidemment jamais obtenu.

Fin juin 2010, le  » lieutenant-colonel petit coq  » rassemble l’ensemble des personnels du centre de formation SIC avant les départs en vacances . Il en profite pour annoncer les mutations entrantes et sortantes qui vont intervenir. Il mentionne aussi à cette occasion, des fermetures de casernes à venir et ce jusqu’à l’année 2012.

Il précise donc la fermeture de la caserne de Nogent sur Marne, lieu du logement de fonction de Philippe pour l’année 2012.

Le 7 juillet 2010, Philippe signe sa notation qui lui est proposée par le  » lieutenant-colonel petit coq  » . Il mentionnera sur cette dernière :

 » pris connaissance le 7 juillet 2010. Fait l’objet d’une déclaration annexée. Cette notation fera l’objet d’une plainte administrative auprès du tribunal compétent  ».

Niveau de note à 11 pour la 6ième année consécutive.

La déclaration annexée de mon mari, datée du 7 juillet 2010 laisse apparaître :

 » faisant suite au contentieux que j’ai déclaré à la DGGN en 2009, ce en regard de l’agression physique dont j’ai été la victime et qui a été la raison pour laquelle je sois affecté au CNFCLICG en 2007, j’estime avoir été floué professionnellement depuis 4 années au niveau de mes notations et d’en subir encore les conséquences aujourd’hui, par un acharnement non dissimulé du chef de centre.

Une plainte a été initiée auprès de la CNIL en décembre 2009 pour les mentions médicales figurants sur mes feuilles de notes 2007 et 2008 ; ces mentions ont déclenché un phénomène de  » mise au placard  » et un gel complet de ma carrière de technicien SIC  depuis l’année 2007.

Par le fait d’avoir déclenché une saisine de l’inspection technique en mai 2009 et d’avoir ensuite porté au judiciaire des faits graves commis par des militaires de l’arme, j’estime aujourd’hui faire les frais d’une certaine politique de la Direction de la Gendarmerie  qui selon moi, cherche plus à dissimuler des enquêtes dérangeantes pour l’image de marque de l’institution que de faire établir la stricte vérité.

Plus d’une année après le dépôt de ma plainte, les personnels figurants dans ma procédure et désirant témoigner n’ont pas été entendu. Cela constitue pour moi ni plus ni moins qu’un déni de justice.

L’ensemble de mes dossiers sont aux mains de la HALDE et de la SAJIR ( TGI de Créteil ) depuis le 14 juin 2010.

Je porte donc maintenant l’ensemble de mes dossiers devant le tribunal Administratif compétent.  »


Tête à l'envers - Catherine PineurLe 8 juillet 2010, lendemain de la signification de notation de mon mari, le  » lieutenant-colonel petit coq  » convoque Philippe dans son bureau : Ce dernier, avec un ton emporté et furieux lui demande en lui faisant voir son écran informatique :

-  Qu’est-ce que cela veut dire ?

Philippe, en voyant sa photo issue du serveur AGORA, la tête à l’envers et regardant bien sûr l’expression de cet officier qui visiblement ne sait plus quoi inventer pour l’incommoder dira :

 » Tiens, j’ai la tête à l’envers et cela représente exactement ma situation ici  au centre de formation  ». Phrase formulée sur le ton de l’humour car Philippe, même dans l’adversité, a toujours gardé son sens critique, son humour parfois corrosif et percutant qui le caractérise. Il n’en reste pas moins que le  » lieutenant-colonel petit coq  » n’apprécie guère ce genre de réflexion.

Le  » lieutenant-colonel petit coq  » l’informe également queselon ses informateurs en titre, il aurait porté à plusieurs reprises son insigne de spécialiste, de travers sur sa tenue ( ! )

Philippe qui ne sait plus quoi penser devant une telle absurdité écarquille à deux fois les yeux et s’entend dire par le  » lieutenant-colonel petit coq  » :

- Je vous donne l’ordre de me faire un compte rendu !

Il demande donc à Philippe, adjudant de Gendarmerie, à près de 30 ans d’ancienneté de services, de lui faire un compte rendu écrit, tel un  » jeune bleu bite  » ayant gravement fauté, pour expliquer comment on en est venu à avoir un sous – officier ayant la tête à l’envers sur une photographie numérisée ( ? ) et d’avoir selon ses propres dires, porté un insigne de type  » scratch  » de travers sur sa tenue ( ? ) !

Cet exercice de style pratiqué avec délectation et dans les règles de l’art par le  » lieutenant-colonel petit coq  » est-il assimilable à une forme de harcèlement moral ?

NDLR : je puis vous assurer, pour avoir eu lecture, avec les membres de notre collectif et qui m’aident à ce jour à constituer ces colonnes, que cet écrit de mon mari est un monument d’absurdité , tel qu’il lui fut demandé d’être établi.

D’autre part, il est utile de souligner une  technique de management  qu’utilise le  » lieutenant-colonel petit coq  » pour diriger sa boutique de main de maître, composée au bas mot d’environ cinquante sous – officiers et de quelques officiers subalternes.

Pour tenir sa troupe au mieux et au plus serré mais surtout pour se tenir informé de tout ce qu’il peut ou pourrait se passer dans son centre de formation, sa technique est d’utiliser finement quelques sous – officiers, de préférence candidats à l’avancement voire candidats au passage dans le corps des officiers, de leur proposer une bonne et belle suite de carrière mais en contrepartie, de lui fournir ces renseignements essentiels qui lui permettent ainsi, depouvoir prendre la température de la troupe, de se prémunir de problèmes et dans le meilleur des cas, de constituer des dossiers pour mieux pouvoir exercer l’art de sanctionner. Cette technique bien référencée en milieu militaire Gendarmerie a été décrite par nombre de sous – officiers comme étant la technique du  » chien rapporteur  » mais nommée également technique du  » fou du roi  ».

Certains par ce biais verront ainsi voir décoller leur carrière de façon exponentielle.

Le 12 juillet 2010, Philippe reçoit un courrier du Procureur de la république E.S de Cahors, chargé aux affaires militaires qui lui stipule :

 » A l’issue de l’ enquête très approfondie diligentée par les services de l’inspection technique de la Gendarmerie Nationale, il m’apparaît que d’une part les faits de violences volontaires que vous imputez à l’adjudant J-M.P, à les supposer avérés sont prescrits et d’autre part que les faits que vous qualifiez de harcèlement ne sont pas établis, cette notion pénale répondant à une définition stricte absente des faits que vous décrivez.

Par ailleurs, les faits que vous paraissez dénoncer relativement à vos notations ainsi qu’aux appréciations de votre hiérarchie ne relèvent pas à l’évidence de ma compétence mais d’éventuels recours internes ou portés devant les juridictions administratives.

Il vous est cependant possible de poursuivre la procédure par voie de citation directe des mis en cause devant la juridiction pénale ou par constitution de partie civile devant le juge d’instruction territorialement compétent  ».

Cette décision de justice désormais irrévocable  considère donc les faits prescrits. L’agresseur multi-récidiviste J-M.P a menti aux enquêteurs, en déniant avoir commis quoique ce soit ; ces mêmes enquêteurs lors de son audition et du passage concernant cet épisode, ont précisé  dans le PV de synthèse remis au procureur E.S,  qu’ils mentionnent l’attitude véhémente de l’adjudant J-M.P à leur égard et son apparente incapacité à contrôler ses émotions lorsque le sujet de l’agression est évoqué ; ce qui leur laisse un sérieux doute quant à la dénégation de responsabilité de l’adjudant J-M.P …

Deux personnels militaires présents le jour de l’agression et témoins auditifs n’ont pas été entendu par l’inspection technique. Les civils concernés par ces enquêtes non plus.

Mon mari qui a eu connaissance de ce dossier d’enquête  »très approfondie  » par son avocat, a souligné de fait, d’undossier monté à charge contre sa personne et même la mienne, moi son épouse aux fins que l’on ne reconnaisse en rien ce que déclarais mon mari, le tout appuyé par des affirmations douteuses et orientées d’un illustre officier mandaté , le  » lieutenant-colonel petit coq  » .